@ l’auteur
Les parisiens qui cotisent seront bien satisfaits de ne pas débourser d’argent pour des personnes condamnés à morts à cause de maladies telle que le sida (voir par empoisonnement pour des motifs économiques évidents, mais là on ne touche plus à votre oseille)
Après votre morale ne regarde finalement que vous et au vu de la réalité est à la fois : dangereuse et arriérée. Quand comprendrez-vous qu’envoyer des personnes en prison pour des peccadilles est dangereux pour l’ensemble de la société ? On y entre avec un BEP cannabis et on y ressort avec un doctorat en cocaïne, (clin d’oeil au film Blow qui traite d’une histoire vraie) c’est ça une taule et le pire c’est que les braves gens comme vous cotisent pour cette formation, de qualité : je vous rassure.
Après : oui, cela est d’une hypocrisie affolante, mais pas dans le sens où vous l’entendez. Là on fait dans l’anecdotique, alors qu’il serait possible de faire bien mieux à la fois pour le respect de la personne : physiquement et au vu de sa liberté de conscience, toutefois là on entrerait clairement dans le domaine de l’utopie. Utopie qui n’est pas prête de se réaliser tant que les ripoux/dealers/idiots utiles tiendrons bon et tirerons les bénéfices de ce trafic des plus lucratifs ; celui-ci qui n’ira d’ailleurs pas en s’amenuisant. (Notez que les seuls victimes de cette prohibition sont ces fameux idiots utiles qui ne sont rien d’autre que des Don Quichotte modernes ainsi que les consommateurs de ces produits jugés illicites tout comme leurs familles bien évidemment, alors : à quand la fin de cette mascarade ?)
Vous parlez de responsabilité individuelle ? Laissez donc ces gens en paix : ils ne vous on rien demander(et vous le rendrait bien), d’autant plus que la plupart d’entres eux : paient des impôts et ne vivent pas de menu larcins comme vous semblez le fantasmer.
Et pour ce qui est de la ré-ouverture des maisons closes, l’on gagnerait clairement à ce que la pratique sorte de l’opacité dû à l’illégalité, après le format maison close avec sa mère maquerelle etc : non ; faut pas déconner pourquoi pas leur offrir le statut de fonctionnaire ? Car après tout on paie bien des politiciens... Je soupçonne ces femmes d’êtres plus utiles à l’ordre publique que ces empaffés d’ailleurs.