L’Euro est un outil entièrement au main de la classe dominante pour contraindre les états, y compris et surtout ceux qui seraient tenté d’appliquer une politique de gauche s’opposant à renforcer l’exploitation des travailleurs et à presser les peuples comme des citrons, y compris si cette politique est issue du choix démocratique par les urnes , pour contraindre les états disais-je à l’austérité et à l’écrasement des salaires.
L’UE c’est l’outil qui permet de mettre en concurence les peuples d’europe, l’Euro et sa BCE indépendante des peuples mais sous le controle de la classe dominante, c’est la presse qui permet d’extraire jusqu’à la dernière goute les profits issus du travail des peuples.
Si on veut une politique au service du peuple, de la Nation, c’est à dire une politique au service de la classe des travailleurs (y compris les privés de travail), il est indispensable de sortir de l’Euro, de sortir de l’UE.
On ne peut dire comme P Laurent - celui qui préfere comme symbole l’étoile à moitié vide et sans éclat du parti européen PGE aux outils représentant le travail - que « on doit défendre l’euro qui est notre monaie » et prétendre faire une politique qui ferait la « place au peuple » et placerait « l’humain d’abord ». Place au peuple cela signifie lui rendre toute sa souveraineté et ne pas en déléguer une part à une UE qui est construite contre les peuples, lui rendre également sa souveraineté monétaire. Vous avez très bien montré dans votre article que la souveraineté monétaire est indispensable pour pouvoir conduire une politique de gauche, au service des travailleurs et de la Nation. Bien sûr, il s’agit d’une condition non suffisante. Et sortir de l’euro pour une monnaie commune adossée à l’allemagne toujours sous le contrôle des capitalistes comme le propose le FN c’est bonnet blanc et blanc bonnet que de ce que propose les tenants de l’UE.