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Commentaire de ctadirke

sur Du « mariage pour tous » au divorce avec la Démocratie ? Clientélisme et communautarisme


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ctadirke 13 février 2013 16:35

Quand je vois le mot « démocratie », c’est plus fort que moi, je sors mes ADM

Ce qui est tout de même  moins violent qu’un revolver

Qui peut nous expliquer ici pourquoi il est préférable, sinon meilleur pour l’intérêt général des personnes concernées, de faire confiance à quelqu’un qui a obtenu – dans le cas extrême - 50,01 % des voix consciencieusement vérifiées de ceux qui ne se sont pas abstenus plutôt qu’à son concurrent ayant obtenu 49,99 % des suffrages abusivement dit « exprimés », puisque s’abstenir c’est aussi s’exprimer ?

« Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort qu’ils ont forcément raison » (Un très grand philosophe français mort prématurément d’un bête accident de moto).

« Dès que nous disons le mot «  démocratie » pour nommer notre mode de gouvernement qu’il soit américain, allemand ou français, nous mentons. La démocratie ne peut jamais être qu’une idée régulatrice, une belle idée dont nous baptisons promptement des pratiques très diverses. Nous en sommes loin, mais encore faut-il le savoir et le dire » (Feu Alain Etchegoyen, ex-patron du Commissariat général au Plan dans «  La démocratie malade du mensonge » )

« Nous sommes victimes d’un abus de mots. Notre système (les « démocraties » occidentales) ne peut s’appeler « démocratique » et le qualifier ainsi est grave, car ceci empêche la réalisation de la vraie démocratie tout en lui volant son nom. » Serge-Christophe Kolm

« La démocratie c’est le nom volé d’une idée violée » Jean-Pierre Martin,

« …. .mais encore faut-il le savoir et le dire »

Me permettez-vous de le dire, de le redire et de le dire encore, ici et ailleurs, dans un but constructif  ?

Seule le juste, « donc » l’éthique (pas au sens religieux de « morale » ), devrait primer et s’imposer à tous. Sous la conduite de sophocrates (sophia : sagesse) , éclairés par de vraies consultations internautiques  régulières, dont le mode de désignation – délicat imaginer il est vrai – ne saurait être plus incohérent et irrationnelle que notre façon actuelle de désigner nos irresponsables politiques.



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