Commentaire de Alinea
sur Je n'ai rien à dire...
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Hermes : si vous saviez à quel point j’ai pratiqué le vide ! Le vide d’objet ou de désir d’objet me concerne peu ; le vide affranchit, c’est sûr, quelquefois, c’est une fatigue accablante et alors, c’est plus dur, un vide de désir de vivre, sans désir de mourir mais un temps mort quand même ; la précarité donne beaucoup de moments comme cela ; et là, il faut que ça passe car je n’y ai encore jamais trouvé de trésor ! sauf à y voir une paix et la mort des illusions, oui, au fond, peut-être !
Derniers commentaires
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18/02 01:37 - Alinea
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17/02 21:36 - Graffias
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17/02 19:01 - Alinea
Aujourd’hui un grand frère m’ échoit. Qui me parle de métamorphose...que le (...)
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17/02 17:29 - jack mandon
Bonsoir Alinea, Lentement, patiemment, la chenille s’étire secrètement avec pluviôse. (...)
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Deneb : je n’ai jamais entendu cette femme ni jamais lue ! Vous concevez que je (...)
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