franc tireur
les précisions que vous apportez méritent d’être confirmées par des preuves.
non pas que je mette en doute votre sincérité, mais vous devez absolument étayer vos dires.
l’affaire est en effet trop importante.
la question étant : le corium est-il toujours présent dans le sous sol du site, continuant à dégager d’importantes pollutions radioactives, ou, comme vous l’affirmez, la plus grande partie de la radioactivité a été dispersée un peu partout.
en effet, oubliez vous que des images du corium existent, prouvant qu’il n’a pas été totalement volatilisé lors de l’explosion, et mettant à mal votre affirmation.
photoon sait que sa température varie entre
2400 et 2800°C, et il est probable qu’il soit encore « très chaud »...
quand au toit du réacteur, voila ce qu’en dit wikipédia :
L’incendie éteint, les techniciens de la centrale prennent conscience de l’étendue des dégâts provoqués par la retombée du toit sur le réacteur, qui est désormais fissuré. Le graphite toujours en combustion, mélangé au magma de combustible qui continue de réagir, dégage un nuage de fumée saturée de particules radioactives.
Il faut donc au plus vite maîtriser le feu de graphite et faire face à la présence de débris hautement radioactifs projetés aux environs par l’explosion. Ce n’est qu’ensuite que le réacteur pourra être isolé par un sarcophage.
merci donc d’apporter les sources de vos affirmations.
@+