La surexploitation des ressources naturelles mets en danger l’autosuffisance des populations sur les divers territoires de la planète. Les industries font de la surproduction permanente, subventionner par les instances politiques, ce qui est en train de détruire toutes les chaînes alimentaires (même en exploitant une seule espèce) des écosystèmes, et ceci de manière irréversible.
Les industries ne recherchent que les profits et son augmentation constante, pour y arriver, les capacités de captures (d’espèces) ou d’extractions (énergies, minerais,...) sont revus à la hausse, par la fabrication ou la restauration des machines, subventionner par l’ Etat ou une fédération de pays (comme l’ Union Européenne,...). Tout en exigeant que la surface d’exploitation aboutisse à une privatisation totale des lieux d’exploitations.
C’est une destruction de l’artisanat locale et un danger pour les ressources (alimentaire,eau,...) de secours.
La surexploitation des ressources, les pollutions autour de ce surproductivisme et la destruction des biotopes causent de si lourds dégâts que l’ensemble du réseau des organismes, sont détruits de manière irréversible. De plus, la pression du réchauffement climatique ne fait qu’accroître ses tensions, provenant de nouveau des activités humaines, émettrices de taux de Co2 par une utilisation massive de pétrole et de charbon. La culture intensive des industries de l’agroalimentaire agrandit la surface de l’épuisement des sols, qui ne deviennent plus exploitable.
Il suffit pour l’ Etat ou une multinationale de verser une somme dérisoire (par rapport aux réels profits immédiats et dans le temps), et par un contrat de pouvoir faire venir un nombre non limité d’activités de production, d’avoir accès aux ressources territoriales du pays, même si cette concurrence (déloyale) va être en compétition avec le tissu local. Des discours sur la compétitivité masqueront cet état de fait, d’une concurrence complètement déloyale à de nombreux niveaux.
L’exemple de la surpêche montre la mécanisation hyperproductiviste des industries. Le chalut, le navire de pêche, subventionner et exploiter sur le marché de l’industrie de la pêche, est responsable de 72% des rejets. Ainsi, l’estimation est qu’ 1 poisson va à quai, sur 3 poisson pêchés, donc 2 sont rejetés sans vie à la mer. Ses gaspillages qui sont parfois (très élevés comme dans ce cas), se retrouvent dans d’autres industries, sans volonté de diversification de l’exploitation ou de coopérations diverses.
Le capitalisme continue dans sa logique de faire plus profits, améliorant ses capacités de production et pratique des horaires de temps de travail élevés avec une faible redistribution des revenus. Ceci alors qu’il y a des seuils biologiques à respecter, pour permettre le renouvellement du cycle naturel.
07/05 16:39 - [email protected]
L’homme ne va pas mourir de son alimentation... Seulement s’il vérifie d’où (...)
25/02 08:32 - Denzo75018
La répression n’a jamais éradiqué toute forme de fraude ou de criminalité ! En revanche (...)
24/02 15:14 - brieli67
L’animal d’élevage n’est pas si bêteJocelyne Porcherin Ruralia
24/02 14:47 - brieli67
24/02 09:41 - Folacha
Ce qui a changé aussi , c’est que c’est maintenant protégé par la loi ! Vive (...)
24/02 09:36 - Folacha
Bonjour Kéké, merci pour le lien :-) Je viens de visiter le site, mais les petits producteurs (...)
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération