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Commentaire de njama

sur TRICHERIES ALIMENTAIRES rafraîchir les mémoires : LE BEURRE


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njama njama 22 février 2013 14:58

Le Syndrome de l’huile toxique est effectivement un cas d’école ...

Résumé d’un livre de Jacques Philipponneau paru aux éditions de l’encyclopédie des nuisances « Relation de l’empoisonnement perpétré en Espagne et camouflé sous le nom de syndrome de l’huile toxique »

Ce que l’on a appelé le « syndrome de l’huile toxique » est exemplaire d’à peu près tous les maux dont notre temps est affligé, d’abord parce que ce nom même est un leurre.

6. Quel rapport avec le sida ?

On retrouve là, à très grande échelle et sur la longue durée, tous les traits de l’imposture criminelle que nous avons vue à l’œuvre pour camoufler l’origine réelle du « syndrome de l’huile toxique » ; ce qu’il s’agit de camoufler étant dans ce cas rien de moins que la totalité des conditions de vie pathogènes aujourd’hui imposées à chacun. Énumérons donc ces ingrédients de la vérité officielle sur le sida, en essayant de suivre ce que l’on pourrait appeler leur ordre d’apparition à l’écran la manipulation des données épidémiologiques, avec le rôle du C.D.C. dans la fabrication du dogme affirmant la malignité du « virus du sida », en contradiction avec tout ce qui est su des rétrovirus et des maladies infectieuses [5] ;
> la définition tautologique de la maladie, le virus se voyant attribué le rôle d’unique agent causal par le simple fait que sa présence est exigée pour diagnostiquer la maladie, laquelle recouvre en fait sous le nom de syndrome une liste modifiée périodiquement de maladies déjà connues, dites opportunistes [6] ;

> l’impossibilité de prouver la responsabilité de l’agent désigné, avec la conséquence ici d’en trouver sans cesse de nouveaux, « variants » et « sous-types » ;

> l’intangibilité de la vérité obligatoire sur la maladie, malgré toutes les contradictions logiques qui devraient l’ébranler, en particulier l’existence désormais reconnue de cas d’immunodéficience sans trace d’infection par un quelconque rétrovirus, comme de cas plus nombreux encore de « séropositifs » qui ne développent aucune de ces maladies opportunistes ;

> les intérêts économiques agissant puissamment pour corrompre tous les protagonistes, depuis les responsables de l’administration sanitaire, n’hésitant pas, pour écouler leurs « produits sanguins », à transmettre ce virus selon eux si redoutable, jusqu’aux lobbies censés défendre les malades et qui se font les propagandistes d’un médicament, l’A.Z.T., dont l’efficacité est reconnue nulle, sinon pour précipiter une issue fatale ;

> la saturation informative, entretenant l’ignorance, et l’autolégitimation de la thèse officielle, une fois atteinte une masse critique de publications scientifiques ; les coups de théâtre médiatiques et les annonces de résultats mirobolants, aussitôt démentis par les faits ;

> la perte de toute rigueur méthodologique, puisqu’on ne peut attendre ni reconnaissance ni profit de la mise en cause des conditions de vie actuelles et des drogues licites ou des médicaments qui en font partie intégrante, l’éventuel constat d’échec de dix années exclusivement consacrées à la recherche d’un hypothétique vaccin s’accompagnant seulement de cette pauvre ambition : « donner au hasard une chance de participer à la lutte contre le sida » ;

> le double langage des experts qui, quand ils sont à quelque distance des tribunes officielles et des institutions où s’obtiennent crédits publics et privés, admettent quelques demi-vérités, comme Gallo ou Montagnier avec leurs « cofacteurs » [7]. Et là aussi on voit des associations de malades souscrire au mensonge qui les tue, des « dissidents » contester en totalité ou en partie le credo imposé sans parvenir à donner vie à des vérités ayant une portée réellement pratique, faute d’une critique cohérente de la civilisation marchande.


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