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Commentaire de paconform

sur La parité


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Raymond SAMUEL paconform 25 février 2013 12:15

SUITE n° 3



Je passe à l’épisode n° 7


Hélas non, bien qu’identique en tous points aux précédents, cet épisode n°7 n’est pas comme les autres. Parce que dans celui-ci l’actrice c’est vous, ma (croyais-je) conjointe.

Ce n’est plus un épisode, c’est un effondrement définitif, un tas de ruines.


La situation familiale (mariée ou équivalent, un ou plusieurs enfants encore à charge) est en tous points identique chez les six femmes décrites plus haut et pour vous-même. Vôtre culture, vos croyances, vos activités, sont aussi parfaitement semblables à celles des six autres. La différence n’existe que pour moi, victime pour vous sans importance, sacrifiée d’avance et sans états d’âme, ne pesant pas une once sur votre conscience puisque moins important qu’un coït avec un quidam quand se présente une « occasion » (Si, si, vous l’avez dit à propos du stagiaire : « je ne voulais pas rater une occasion »).

Ces occasions, furent un stagiaire, un menuisier, un cantonnier, un hôtelier, un rentier et sans doute d’autres encore.


Vous qualifier Mesdames est bien difficile pour un esprit honnête. Vous n’êtes pas dans le cadre du possible. Vous ignorez le couple et la famille que vous avez pourtant voulus et dont vous tirez en même temps et sans scrupules les avantages.


Vous êtes sans excuses.


La responsabilité du féminisme radical des pionnières est sans aucun doute très largement engagée. La dérive des consciences doit beaucoup à cette idéologie mortifère qui a considéré comme un devoir pour les femmes de pratiquer la déloyauté, la duplicité, la malhonnêteté, l’inconséquence, l’absence d’empathie, l’égocentrisme et l’égoïsme tout en ignorant les morts d’homme. Par exemple :


  • Cet homme, la main crispée sur la crosse d’un revolver, qui fait demi-tour, arrêté par la pensée de ses enfants, à cent mètres de l’appartement où il sait trouver sa femme avec un amant,

  • Cet autre homme qui charge son fusil de chasse de deux cartouches, l’une abat sa femme l’autre est pour lui,

  • cette femme qui se suicide,


Presque le quotidien.

    Sans égards non plus pour ces très nombreux enfants qui vivent dans un climat familial délétère. Un grand nombre de ces enfants sont atteints dans leur santé psychique (pour toute leur vie). Quarante mille d’entre eux tentent de se suicider chaque année, le climat familial est la principale cause.


J’ajoute une remarque : j’ai été beaucoup plus sollicité à l’âge avancé que j’ai atteint, que je ne l’ai été auparavant, ce qui est anormal.

Cette particularité n’est peut-être pas une preuve de l’accélération de la dégradation de la conscience et des mœurs féminines ces dernières années, mais c’est au moins une indication précise.



Raymond SAMUEL

31.03.11



N.B. Ce témoignage provient évidemment de l’expérience d’un homme, par la force des choses, puisque je suis un homme.

Je n’ai cité que les épisodes qui se sont produits dans l’entourage de ma (fausse) conjointe et qui impliquent des mères de famille.

Je dois signaler que je me suis abstenu de relater un fait qui dépasse ce que je m’autorise à révéler bien qu’il illustre parfaitement le niveau insoupçonné de déliquescence atteint maintenant dans nôtre civilisation par les consciences et les mœurs.








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