Bonjour Loup,
Je suis enchanté de votre visite
Vous le savez, il est des questions dans lesquelles le réfléchisseur va creuser, creuser, creuser et...découvrir que plus il creuse, plus il s’enlise
Ça fait un moment que j’évite ces pièges. J’examine une question et dès que je sens des sables mouvants, je stoppe pour passer à autre chose
La TVA, je l’ai pratiquée en tant que consommateur et chef d’entreprise classique. J’ai vu qu’en la creusant, je ne trouvais que du solide et je suis allé au bout, jusqu’à imaginer deux copines de pouvoir d’achat différent faisant leurs courses ensemble et jouant éthiquement des étiquettes de couleur.
Mais si j’ai bien examiné la question de nos relations inter-contribuables ainsi TVAtisés, je n’ai pas du tout examiné pourquoi nous n’y étions pas
J’ai seulement introduit lapidairement le fait que pour l’instant, cette taxe comme toute taxe, nous ne la chérissons pas
Il serait téméraire et inconséquent de passer TVAtistes avant d’avoir examiné pourquoi nous ne le sommes pas déjà
Quiconque voudra évoquer de nouveau le TVAtisme (je n’ai plus le temps de m’occuper de ces questions trop contingentes, pas assez généralistes) pourra s’appuyer sur ce que j’ai montré d’intéressant de la bestiole mais devra examiner les raisons pour lesquelles nous ne l’avons pas déjà adoptée.
Les raisons n’ont pas émergé des commentaires de ce papier mais peut-être y avait-il une actualité qui cristallisait les pensées des AVoxiens, je ne m’en souviens plus
Le résumé de mon TVAtisme serait :
Tous nos échanges commerciaux devraient devenir éthiques
Une marchandise devient éthiquée lorsque son étiquette TTC comporte une part de taxe proportionnelle à l’éthique qui lui manque HT
L’éthique de chaque marchandise devrait donc être jugée au regard de ce qu’elle apporte à tous.
(Dito pour les héritages)