Un comble, des clandestins sans papiers, exerçant une activité commerciale au noir sans jeu de mots c’est-à-dire qu’ils ne payent pas un kopec aux impôts locaux qui si ça se trouve n’existent même pas, laquelle activité est tellement clandestine qu’elle se pratique en plein cœur du plus gros marché du pays et qui veulent juste rentrer chez eux après la ruine, de surcroit abandonnés à leur sort par leurs services plus cons que sulaires, mais qui non contents de ne pas être expulsables, ne peuvent même pas quitter le pays d’accueil vu … qu’ils n’ont pas de papiers, oh pu… kafkaïen parfois mon continent.
Si j’étais eux je continuerais de guerre lasse, à jouer la carte pays d’accueil, une certaine solidarité semblant s’amorcer au Burundi :
« Le président lance appel à la solidarité nationale
Par ailleurs, un fond de solidarité nationale devrait voir le jour, a souligné le numéro un burundais,
Une heure plutôt, le Premier vice-président de la République qui animait une conférence de presse exceptionnelle, avait appelé les pays de l’EAC à l’aide
Dans une déclaration les députés et sénateurs élus dans la circonscription de la mairie de Bujumbura expriment ce qui suit :
Ils demandent aux banques partenaires de ces commerçants de les soutenir dans ces moments de dures épreuves
Ils demandent également au Syndicat général des commerçants (Sygeco) de rester au côté des commerçants victimes de la catastrophe »
http://www.iwacu-burundi.org/spip.php?article4684
Sinon ceux qui seraient morts je cite « Ceux qui sont morts tentaient selon plusieurs sources de sauver les galons d’huile qu’ils vendaient » Mourir en tentant de sauver de l’huile du feu… Ah misèèèèèère
25/02 19:10 - Constant danslayreur
Un comble, des clandestins sans papiers, exerçant une activité commerciale au noir sans jeu de (...)
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