Toujours sur les causes probables de la sur-délinquance/criminalité de certaines franges de la population, analyse on ne peut plus politiquement incorrecte d’un psychologue danois qui a eu maille à partir avec lesdites franges lors d’une étude psycho-sociologique au Danemark :
http://www.dreuz.info/2009/04/article-30363030/
Il y est mis en évidence qu’au sein de certains groupes ethno-culturels les modes de comportements qui sont valorisés/validés dans cette culture tendent à favoriser des comportements asociaux, dysfonctionnels ou socialement contre-productifs. Certes ces modes de comportement peuvent être changés, abandonnés au bénéfice de comportements et de valeurs socialement adaptatifs, comme le prouve certains exemples qui malheureusement sont aussi des exceptions qui bien souvent confirme la règle ; dans tous les cas ces changements sont extrêmement exigeants et difficiles à accepter, car ils supposent une volonté d’intégration hors norme, comme de se dépouiller d’une partie (la moins consensuelle) de sa culture d’origine afin de se fondre dans le moule socio-culturel dans lequel il se trouve.
Charles Aznavour, fils d’immigré arménien, raconte par le menu les raisons pour et par lesquelles il a réussi à s’intégrer au corps national, et pourquoi il fut et demeure l’une des personnalités préférées des français :
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=j0oSQrrEPvA
Ce qui m’amène à rapporter cette réflexion d’un autre illustre français :
« Si une communauté n’est pas acceptée, c’est qu’elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problème. Si elle se plaint de racisme à son égard, c’est parce qu’elle est porteuse de désordre. Quand elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras. Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous imposer ses moeurs. » - C. de Gaulle, « De Gaulle, mon père », Philippe de Gaulle.
Un dernier article :
http://www.lemonde.fr/societe/article/2008/04/29/en-france-les-detenus-musulmans-sont-surrepresentes-selon-le-washington-post_1039616_3224.html?xtor=RSS-3208
On remarque à la lueur de cet article que la surreprésentation des individus de culture et de religion islamique en prison se retrouve dans tous les pays, et que le facteur de surreprésentation varie entre 4 (Grande-Bretagne et Pays-Bas) et 8 (Belgique). En d’autres termes, un individu élevé dans la culture et la religion islamique est entre 4 et 8 fois plus susceptible de commettre un acte de criminalité le menant en prison qu’un individu ne baignant pas dans cette culture et cette religion.
Accessoirement :
http://www.youtube.com/watch?v=384w9Nmg9_w