Les Japonais sont allés voir sur place les enfants de Tchernobyl pour savoir ce qui va advenir à leurs propres enfants...
http://www.youtube.com/watch?v=x-tsnP-fkgQ
mais pour l’AIEA, l’Agence Internationale de L’Energie Atomique (l’employeur de joletaxi ?) « Il n’y a pas de dommages pour la santé des habitants » dixit (à 3:59) le Dr. Shigematsu un japonais.
« Je travaille depuis 1968 comme chercheur sur les effets des radiations sur la santé et j’ai été surprise de découvrir dans la littérature que l’essentiel des recherches vraiment détaillées ont été menées avant 1951. »
« A partir de 1951, un mythe s’est établi, selon lequel il serait impossible de déceler les effets des faibles doses de radiations. 1951 est une date très importante, celle de l’ouverture du site des essais atomiques en atmosphère au Nevada, le premier site ouvert sur le continent américain. Les retombées de plus de 500 essais atomiques se sont répandues dans tout l’hémisphère Nord. A partir de cette époque, une propagande savamment orchestrée décréta que les faibles doses de radiations étaient sans danger, qu’il était impossible de leur attribuer aucun effet négatif. »
[...]
« Les experts ont constamment minimisé les conséquences génétiques et les conséquences pour les générations futures. Comme une personne de Tchernobyl me l’a expliqué, il s’agit d’un accident qui commence à petite échelle et s’aggrave avec le temps. C’est l’inverse de ce qui se passe après la rupture d’un barrage ou autres terribles catastrophes, épouvantables au début, mais dont les effets s’atténuent avec le temps. Tchernobyl au contraire s’aggrave sans cesse »
Dr. Bertell,
Tchernobyl, conséquences sur l’environnement, la santé, et les droits de la personnes,
Vienne, 12-15 avril 1996,
Tribunal Permanent des Peuples,
Commission Médicale International de Tchernobyl.
http://www.dissident-media.org/infonucleaire/rosalie_bertell.html