« La question est bien là : les médias citoyens (voire collaboratifs ou pronétaires, vu que le terme citoyen semble agacer certains) ont-ils le droit de poser des questions sur des sujets sensibles, ou doivent-ils s’abstenir et se ranger systématiquement derrière la « pensée unique » de certains grands médias ou du « politiquement correct » des organisations officielles ? Doivent-ils au contraire continuer à poser des questions qui dérangent ? Présenter des faits et des documents (même controversés) pour et contre telle ou telle théorie, et permettre à chacun de se faire une opinion ? »
Bonjour.
On peut se poser la question encore plus simplement.
Si on ne peut parler de rien de « sensible », à quoi sert alors Agoravox ?
Les écrits des rédacteurs sur le 9/11 par exemple, permettent de présenter une information non retranscrite par les autres médias.
On doit pouvoir parler de tout dès l’instant que l’on reste éthiquement correct.
Pour rester un véritable Média au sens propre de médiateur, les rédacteurs se doivent de présenter l’information de manière neutre (ce n’est pas le rédacteur qui crée l’information, il en est seulement l’intermédiaire) et proposer ensuite des questions antagonistes (duales) sur celle-ci, de façon à inciter le lecteur à une réflexion non-orientée par le rédacteur mais uniquement par sa pensée propre.
A partir de cela, on peut parler de TOUT.
D’ailleurs, à quand un sujet sur les Chemtrails ?
;)