«
De fait donc, la solution consiste à dégager un consensus autour d’un modèle social économique capable de fédérer... »
Donc, tu admettras, aussi que le général de Gaulle, qui ne se prenait pas pour un surhomme, (même s’il était plus grand que tout le monde), a cherché à faire avancer la société (en conformité avec des principes, mais avec l’obligation de maintenir un consensus, (c’est à dire les intérêts nationaux, qui se situent aussi en Afrique...)
Du reste, s’il ne l’avait pas fait, le consensus s’effritant, il eut été remercié...
Rien n’est simple, si tu joues aux échecs, pour ne pas perdre, il faut parfois reculer au profit d’une position, sans quoi, tu risques de tout perdre.
En politique, il en va ainsi mes avec d’avantages de pièces et de coups tordus.
Tu dis :
« de Gaulle à perdu son honneur en même temps que sa dignité parce qu’il en revendiquait une. »
Merci pour lui...
(pour moi, c’est sans commentaire, puisque : raisonnement facile et donc malhonnête et irrespectueux)
PS : Je ne veux plus répondre sur Charles De Gaulle, car ce n’est pas mon sujet, je ne suis pas son avocat, ni son historien, ni rien, seulement une personne qui l’apprécie à travers son bilan honorable mais forcément mitigé car gouverner : c’est ce compromettre.
(Il n’y a que les révolutionnaires pour s’asseoir sur le compromis politique et encore ?)