Les restos du cœur, c’est l’initiative d’un athée nommé Coluche. Pas d’adhésion à un vécu christique, juste fils d’une famille modeste.
Et que dire des grands patrons de l’époque Zola, ces cathos qui allaient à la messe le dimanche, puis les autres jours exploitaient leurs esclaves par milliers ?
Je crois que vous vous trompez lourdement : l’empathie est une composante de l’égo. Ni plus, ni moins. Composante indispensable, je vous l’accorde, mais dont l’absence ou la présence s’observe ni plus ni moins chez les chrétiens que n’importe quel autre.
Quand arrêterez-vous cette vanité qui consiste à crier haut et fort, en tout lieu et en tout temps, que la charité ne s’exerce que sous le copyright de Dieu, Jésus, le pape, les chrétiens... C’est insupportable à la fin ; ne vous étonnez pas des réactions allergiques que vous occasionnez chez ceux qui ne partagent pas vos croyances : ils deviennent par la force des choses des antireligieux, par réaction à la tyrannie idéologique que vous tentez de leur imposer.
Il n’y a pas les croyants d’un côté et les incroyants de l’autre, mais les croyants, et d’autres croyants, ceux qui croient à Dieu, et ceux qui croient à autre chose (aux hypothèses scientifiques entre autres).
Mais au fond, vous vous définissez comme « croyants ». Celui qui croit. Vous dites de moi que je suis un « incroyant », juste parce que je ne crois pas à la même chose que vous ? Mais moi aussi je crois, je suis un croyant, sauf que mes croyances sont différentes des vôtres. Ce que votre intolérance semble incapable de supporter.
Arrêtez de vous prétendre au-dessus de tous, et surtout au-dessus de ceux que vous nommez stupidement incroyants. Ça fait de vous un incroyantophobes, tient, je viens de la trouver, celle-là 