Commentaire de Serge ULESKI
sur Le fascisme langagier ou la dictature d'une langue de bois paroxystique
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Cette critique est en partie proche de la réalité mais elle a le défaut de faire du rap une seule et même industrie et une seule et même expression.
Il y a le rap des rappeurs qui finissent, il est vrai, « flics » dans des séries télé.
Il y a le rap des rappeurs pour lesquels l’argent et les nanas sont les seuls valeurs.
Et puis il y a aussi un rap qui, en France, a... en partie, sauvé la langue française dans son expression artistique populaire du naufrage d’une chanson française aux textes d’une indigence abyssale.
A ce sujet vous pouvez vous reporter à ceci : Le rap au secours d ela langue française : http://sergeuleski.blogs.nouvelobs.com/archive/2011/09/17/le-rap-au-secours-de-la-langue-francaise.html
Cela dit, on se rejoint sur un fait : le rap est bel et bien un symptôme. Et ça c’est nouveau ! Car, Claude François, Aznavour, Ferré, Barbara n’étaient pas des symptômes.
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22/03 14:02 - Serge ULESKI
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C’est exactement ça. Cela dit, ne pas confondre le langage avec sa sanction car (...)
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22/03 13:47 - Serge ULESKI
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22/03 09:18 - Inquiet
Merci pour cet excellent article. A sa lecture, j’en viens à comprendre davantage la (...)
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22/03 09:05 - lloreen
A l’auteur. Excellente analyse.Je vous livre un bel exemple de ce fascisme langagier qui (...)
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