Mon pauvre Spartagus, vous êtes pitoyable !
Vous n’avez rien démontré du tout, sinon lire mon texte à l’envers, c’est à dire disant le contraire de ce qui est écrit, pour pouvoir attaquer mon propos.
J’écris : si on peut accuser les fonctionnaires de mal faire leur travail, d’avoir
des « avantages » indus et corporatistes, on ne saurait les accuser de
vouloir travailler moins dans une société post industrielle.
Tout le contraire de ce que vous écrivez « Vous voulez et revendiquez des privilèges corporatistes et voulez que les autres payent pour vous parce que vous ne voulez pas travailler.
Bref, vous me faites dire le contraire de ce que j’écris parce que vous êtes incapable d’argumenter sur le fond de ce que j’écris.
Vous insistez sur le fait que je ne veux pas travailler, permettez moi de dire que c’est vous qui ne voulez pas travailler. Si vous voulez savoir le fin de ma pensez allez voir cet article http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/les-bal-citoyens-126665
Vous verrez que le travail est une obligation, un devoir dû à la société pour le mieux vivre ensemble et non un droit. Mais il y est écrit aussi que si vous ne faites que ce que vous aimez pour gagner votre vie, cela ne peut être considérer comme un travail ET non payer un dû à la société. Bref, VOUS êtes un fainéant au sens du contrat social qui fonde une société.
Tel que vous vous présentez, vous êtes un profiteur du système, mais pas dans le bon sens, dans le sens le plus pervers et anti démocratique.
Que désire le peuple dans sa très large majorité ?
Le contraire de ce que vous voulez, vous. La majorité des gens n’aspirent pas à bouffer son voisin, mais à profiter de la vie et donc vivre en paix avec son voisin. Sauf que des gens comme vous ne veulent pas de ce monde là, ils veulent un monde en guerre perpétuelle pour pouvoir imposer leur vision ultra minoritaire sur la très large majorité des citoyens. Pour cela il leur faut attiser la haine, la convoitise, la jalousie, le mensonge, user de l’art de la manipulation et présenter le monde comme nécessairement violent et donc alimenter cette violence, pour ensuite se présenter comme le seul remède. Comme le mal nécessaire.
Belle fumisterie.
Et enfin, vous ne dites rien sur cette citation »la liberté économique commence là où s’arrête les nécessités du contrat social.
En seriez vous donc incapable ?