*** La surfocalisation sur l’islamophobie n’est pour eux qu’un cadeau
empoisonné qui, sous couvert de fraternité citoyenne, nourrit en réalité
les extrêmes, évidemment ravis qu’on alimente leur saga victimaire ***
Les musulmans sont des êtres humains, donc apriori respectables.
L’islam est une religion dogmatique, dont les lois sont définies par le coran qui divise le monde en deux : les créants et les mé-créants (ou croyants et mé-croyants). Et le coran stipule aux créants qu’il faut convertir les mé-créants, et tuer ceux qui refusent. Appelons un chat un chat : une partie des lois coraniques sont criminogènes. Refuser de les voir et de les dénoncer rend complice...
Les musulmans qui dénoncent ce dogme sont respectables, tant qu’ils ne cèdent pas aux pressions des chefs religieux qui les poussent dans la peur (terrorisme).
Pour défendre les musulmans modérés(1), il est indispensable de dénoncer l’islam, jusqu’à en interdire le dogme tant qu’il ne sera pas révisé, approuvé et mis en conformité avec la Déclaration des droits de l’homme.
Toute position contraire est ni plus ni moins une atteinte à la liberté de pensée, liberté de religion, voire une complicité de meurtre.
Les spéculateurs de la victimisation jouent sur l’amalgame entre l’islam et les musulmans. Je ne suis nullement musulmanophobe. J’ai des amis musulmans, et comme eux je suis un farouche islamophobe.
(1) un musulman modéré sait qu’il enfreint la loi coranique, tout au moins les sourates criminogènes.