Compte tenu des taux auxquels la France emprunte, de la fiscalité, de l’inflation et du cout d’opportunité, Un français qui prête de l’argent au gouvernement en perd. Pour un étranger, il faudrait faire le calcul, parce qu’il peut y avoir en plus des effet de change, mais cela doit bien être pareil.
Taux d’emprunt, moins de 2%, taux d’inflation moyen 2012 en France, 2%, imposition, soit 39,5 % au forfait, soit 15,5 plus intégration dans les revenus imposables.
En revanche, effectivement, il est a peut prêt sur de le revoir un jour et c’est sans doute pour cela qu’il l’accepte.
Dés lors, il est clair : que le problème de la dette, c’est son montant et non son cout ; que les responsables de son côté handicapant pour notre pays sont ceux qui dépensent trop et pas ceux qui prêtent, bien au contraire.
Toutes ces infos sont tellement évidentes, tellement disponibles sur internet, et tellement faciles a calculer qu’on se perd en conjecture sur les affirmations telles que celles que contient cet article.
D’autre part, on y retrouve la répartition des dépenses par Ministère et non par destination, par nature de dépense. Le second poste du budget, ce n’est pas l’Éducation Nationale, ce sont les retraites des fonctionnaires. Elles n’apparaissent pas comme telle parce qu’elles sont noyée dans les budgets ministériel (EN, défense etc...).
Ces gens ne savent pas compter, ou ils imaginent que les autres ne savent pas ? Telle est la question à laquelle je ne parviens jamais à obtenir une réponse.
Peut être serez vous le premier ?
En revanche, il est vrai qu’avant 1981, l’État prélevait moins et investissait plus. Puis, il y a eu Mitterrand, 2 millions de fonctionnaires en plus, 10 point de PIB prélevés en plus et tout en fonctionnement, de moins en moins en investissement avec pour résultat, constaté à l’unanimité par l’ensemble des syndicats, une dégradation continue de la qualité du service public.