« Que fait-on pour jouer aux sérieux ? On y emploie la solution chypriote ? »
Oui, l’argent est le nerf de la guerre.
Le PIB la manière de le mesurer pour un Etat.
Un Etat est limité par des frontières. C’est là qu’il diffère avec les sociétés multinationales qui se fichent complètement du système étatique.
L’Etat, le défaut dans la cuirasse.
L’Etat toujours suiveur à l’attente d’une nouvelle catastrophe, pour la contrer après coup, sans jamais la précéder.
C’est ça qui coince, le manque de prévoyance.
Les Agences du Plan que vous devez avoir en France comme partout, existent mais ne sont pas écoutées.
Les Etats se sont-ils intéressés avant les crises à ce qui se passait sur leur sol ?
Se sont-ils rendu compte qu’ils entraînaient avec eux leur population avec des soldes d’impayés, déjà en contentieux que les banques grossissaient avec des dettes plus importantes que leur PIB ?
Les nouvelles technologies de l’information, ont-ils osé s’en mêler ?
Non. Mille fois non. Obnubilés à signer des contrats pour que les électeurs ne perdent pas leur job. Et puis, plus rien. Aucun investissements personnels.
Oui, c’est un drame Chypre. Le laisser faire en était un autre.
Non, un simili d’actif. Alors que d’autres sont radio-actifs.