Je n’ai ni le temps ni le courage de reprendre votre dernier commentaire. Je renouvelle l’invitation que je vous ai déjà faite : relisez mes précédents commentaires, essayez de comprendre les arguments que j’y développe (très sommairement d’ailleurs). Avec un peu de lucidité, vous arriverez à comprendre qu’à aucun moment vous ne tentez ne serait-ce que de les contredire ou de les discuter, en partant dans des délires totalement grotesques.
Affirmation, martelage... « vous êtes ridicule », « vous délirez », vous êtes grotesque« .. Bref, propos qui n’apporte rien, une fois de plus...
Malheureusement, je doute que vous ayez l’intelligence de tenter cette démarche, et je ne suis pas sûr, même si vous y parveniez, que vous soyez capable de relire calmement.
Très bien alors si vous êtes déjà persuadé, de votre prétendue supériorité, pourquoi un tel acharnement ? Pourquoi jouer les casse-couilles ? Depuis deux pages, vous vous répandez en inepties, et en incantations, alors que j’ai argumenté, j’ai avancé des faits, des arguments, des exemples, j’ai même mentionné les secteurs industriels qui seraient gravement impactés par un »retour à la monnaie nationale« . Là dessus, quoi en réponse ? Rien. Contrairement à vous je n’ai pas la prétention bouffie de me présenter comme un expert autoproclamé qui se prévaut d’avoir »effectué des travaux sur le sujet« . Simplement je fais oeuvre de bon sens. Au lieu de cela non seulement vous passez sous silence ces arguments, mais vous discutez de la forme, vous m’insultez en permancence, vous essayez de me rabaisser, usant d’une telle morgue, d’un tel mépris que permettez-moi de vous dire que s’il avait été commis »en live« , il vous aurait déjà valu comme simple et seule réponse une mise au poing ! Quand un blaireau obnubilé par son militantisme, sectaire, buté, borné, bouché à l’emeri, se la ramène en donnant des leçons, un peu à la façon d’un pilote de karting sponsorisé par la marque de volailles fermières cui-cui qui se la ramenerait devant des pilotes de F1 en leur disant comment ils doivent conduire, et aborder les virages, il ne faut pas que ce même blaireau pleurniche, fasse après sa mijorée parce que les quolibets fusent...
En revanche, l’honnête homme qui sommeille en vous ne peut que reconnaître ce fait simple : je n’ai jamais écrit que j’étais europhobe, ni que j’étais hostile à l’idée de construction européenne. Vous vous êtes trompés en prétendant le contraire. Est-si difficile à admettre ?
La négation de l’existence d’une identité européenne, comme vous l’avez fait, c’est de l’europhobie.
Proner la sortie de la France de l’UE, et de l’euro, au prétexte que »c’est la solution à nos problèmes« , c’est de l’europhobie.
Prétendre que le chômage en France est du à l’euro, que »l’euro c’est le médiator« , que »l’euro à l’instar du mediator, tue l’économie française« , affirmation aussi grotesque qu’osée par votre idole sur F3 (et insultante pour les victimes de l’affaire médicale d’Etat en question), c’est de l’europhobie.
Et même de l’ »€-phobie« ... Vous êtes donc europhobe, même si vous n’avez même pas les »cojones" de l’assumer et le reconnaître.