La plupart des scientifiques sont des mercenaires.
Il n’y a qu’à voir que dans le dossier de l’amiante, la plupart des scientifiques spécialistes étaient dans le Comité Permanent Amiante financé par et pour les industriels, avec heureusement quelques francs-tireurs isolés comme le lanceur d’alerte henri Pézerat.
Comme le dit si bien le proverbe anglais, « Who pays the piper plays the game » (qui paie le flutiste choisit la mélodie).
Dans un autre cas qui dure aussi depuis des décennies, il n’y a qu’à lire ce qu’exprime bien le titre de la mathématicienne Rebecca Culshaw, La
Théorie VIH du sida, incohérence scientifique ! (Marco Pietteur, 2009). Je doute qu’adviendra ce qu’écrit le virologue Etienne de Harven (auteur des 10 plus gros mensonges sur le sida
(éditions Dangles, 2005) dans la préface de ce livre : « Une
irresponsabilité totale s’attache aux infections virales. Un peu comme un
tremblement de terre : c’est horrible, mais personne n’est responsable !
Par contre si une maladie ou un syndrome pathologique sont dus à une
intoxication par des drogues ou de prétendus médicaments vendus avec
grands profits financiers, ça c’est toute autre chose, et il y a beaucoup
de gens qui pourraient terminer leurs jours en prison… » (p. 14).
Et on pourrait parler de tant d’autres scandales scientifiques, comme celui de l’affaire Mirko Beljanski, qui après 30 ans à l’Institut Pasteur, a prolongé la vie de François Mitterrand et de tant d’autres cancéreux pour se retrouver les menottes aux poignets à 73 ans, alors que maintenant le carriériste Luc Montagnié en fait l’éloge.