Apparu est apparu propre sur lui, au début de l’échange, mais comme sa besace était quasi vide, il ne lui restait plus que la déglingue pour exister : « T’as une tache sur ta cravate, c’est celui qui dit qui y est... parle-moi de l’avenir... le passé... c’est aut’chose... ça te regarde pas... passons... » bref, accuser de boiteux ou de clown le philosophe agrégé - comme les fameux quadra qui en leur temps voulaient dézinguer Chirac - pour ne rien dire, surtout lorsque l’on pense qu’en dix ans son camp à doublé la dette, son patron SARKO à lui seul en rajoutant une louche de 600 milliards en 5 ans - « c’était mieux avec lui - kidisent » - et qui ose, le jeunot, brandir ses mu muscles car lui il sait, il a été ministre du logement, lui, d’ailleurs ça se voit... y a pu d’cartons dans les rues... !
JLM parle cru et dru, c’est vrai, mais c’est pas la musique qui compte mais les paroles ! Enfin, il n’est pire sourd que celui qui ne veut entendre surtout quand la malhonneteté intellectuelle s’ajoute à une droite droitisée à donf pour un seul but : de grosses poignées de dollars à venir, pardon, d’Euros...
Quant à Attali le somptueux (ou somptuaire ?) - ex patron de le BERDE (où il n’a pas particulièrement brillé) - je reste poli - en plus de ses emprunts littéraires et ses virevoltes successives, je doute ce sa parole soit « d’or », hélas, car en ce moment elle serait la bienvenue...