Hélas, les lubies idéologiques des écolos les ont mené dans une impasse.
Ils tendent à croire que la terre-mère, la nature, est d’une grande abondance, mais, hélas, tel n’est pas le cas.
Ils ont donc échoué à présenter un schéma de transition énergétique alternatif cohérent qui puisse faire face aux besoins de la population. Le prélèvement des ressources renouvelables, qui sont infimes, exigerait une infinité d’infrastructures, donc une infinité de prélèvements dans l’environnement non seulement pour les construire, mais encore pour les maintenir... Ce qui est anti-écologique au final. Bug !
Au contraire, l’énergie nucléaire est tellement puissante (1kg d’Uranium = 10 000 tonnes de bois - je ne vous raconte pas l’économie de forêt et de camions de transport sur les routes...), qu’elle permet de faire face aux besoins avec des prélèvements minimaux dans l’environnement.
Face à cette impasse, soit les écolos mentent sur les capacités réelles de leur modèle alternatif, soit ils glissent insidieusement dans le malthusianisme, soit, au pire, pour les plus extrémistes, ils en viennent à clamer la nécessité d’exterminer une partie de l’humanité pour faire de la place...
Donc le système écolo de « transition énergétique » ne marche pas. Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas se soucier de l’environnement, car s’il ne marche pas, c’est justement à cause des prélèvements infinis qu’il impose à l’environnement.
C’est le souci de l’environnement qui implique de ne pas réaliser cette « transition énergétique ».
Je serais eux, j’irais me mettre dans un coin et me faire tout petit.
Errare humanum est, perseverare diabolicus est.