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Commentaire de Vigimedias

sur 11-Septembre : Gérald Bronner ou le côté obscur de la sociologie


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Vigimedias 29 avril 2013 22:50

Edmond a écrit :
« Vous esquivez la remarque en faisant un procès d’intention aux journalistes qui , selon vous , partent d’abord du postulat que la version officielle est vrai .A aucun moment vous ne songez à un travail honnête de leur part qui corrobore la version officielle . »

Vous pensez peut-être au journaliste Stéphane Malterre ?
« Jeudi Investigation : un jeudi noir de l’information »

Edmond a écrit :
 »Normal , vous êtes persuadés de vos allégations .Mais surtout , vous voudriez qu’ils vous suivent alors que vous n’apportez rien de concret et de sérieux , forcément , ça repousse . »

Relisez donc l’article. Vous y trouverez ce passage :

« L’ingénieur en génie civil Jonathan Cole et le physicien Steven Jones n’ont pas attendu les conseils du sociologue et ont présenté des arguments basés sur des expériences que chacun peut reproduire et qui contredisent certaines hypothèses du NIST (l’organisme en charge de l’étude technique de la chute des 3 tours du WTC). Nous laissons à M. Bronner le soin de juger s’ils ont exprimé leur doute « de façon méthodique avec des arguments réfutables par la communauté scientifique » [3].

 Notons qu’en plus de se dispenser d’expériences pour valider ses hypothèses, le NIST refuse de livrer les données de ses simulations informatiques (au motif que leur divulgation « pourrait compromettre la sécurité publique ») et décline les invitations à débattre, n’acceptant pas ainsi - pour reprendre les mots de M. Bronner - « de jouer le libre débat, argument contre argument, méthode contre méthode ». »

La note 3 précisait :

[3] : Si M. Bronner ne craint d’aller chercher des informations qui peuvent infirmer ce qu’il pense, alors nous lui conseillons la lecture du 5ème chapitre « L’inexplicable expliqué… » de notre réponse à Noam Chomsky et Jean Bricmont dans lequel sont exposées en détail les expériences de Jones et Cole. Expériences qui, précisons-le, n’invalident pas la thèse du NIST mais qui en pointent néanmoins certaines lacunes, démontrant ainsi la légitimité à la discuter. Une lecture complète de notre réponse montrera par ailleurs à M. Bronner que la remise en question de la thèse officielle est loin de se résumer à des questions scientifiques, le doute étant légitime du moment qu’il y a un conflit entre des faits et l’explication qui en est donnée.

Ces expériences sont-elles selon vous assez sérieuses et concrètes  ?

Cordialement




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