Edmond a écrit :
« Vous esquivez la remarque en faisant un procès d’intention aux
journalistes qui , selon vous , partent d’abord du postulat que la
version officielle est vrai .A aucun moment vous ne songez à un travail
honnête de leur part qui corrobore la version officielle . »
Vous pensez peut-être au journaliste Stéphane Malterre ?
« Jeudi Investigation : un jeudi noir de l’information »
Edmond a écrit :
»Normal , vous êtes persuadés de vos allégations .Mais surtout , vous
voudriez qu’ils vous suivent alors que vous n’apportez rien de concret
et de sérieux , forcément , ça repousse . »
Relisez donc l’article. Vous y trouverez ce passage :
« L’ingénieur en génie civil Jonathan
Cole et le physicien Steven Jones n’ont pas attendu les conseils du
sociologue et ont présenté des arguments basés sur des expériences que
chacun peut reproduire et qui contredisent certaines hypothèses du NIST
(l’organisme en charge de l’étude technique de la chute des 3 tours du WTC). Nous laissons à M. Bronner le soin de juger s’ils ont exprimé leur doute « de façon méthodique avec des arguments réfutables par la communauté scientifique » [3].
Notons
qu’en plus de se dispenser d’expériences pour valider ses hypothèses,
le NIST refuse de livrer les données de ses simulations informatiques
(au motif que leur divulgation « pourrait compromettre la sécurité publique ») et décline les invitations à débattre, n’acceptant pas ainsi - pour reprendre les mots de M. Bronner - « de jouer le libre débat, argument contre argument, méthode contre méthode ». »
La note 3 précisait :
[3] : Si
M. Bronner ne craint d’aller chercher des informations qui peuvent
infirmer ce qu’il pense, alors nous lui conseillons la lecture du 5ème
chapitre « L’inexplicable expliqué… » de notre réponse à Noam Chomsky et Jean Bricmont dans
lequel sont exposées en détail les expériences de Jones et Cole.
Expériences qui, précisons-le, n’invalident pas la thèse du NIST mais
qui en pointent néanmoins certaines lacunes, démontrant ainsi la
légitimité à la discuter. Une lecture complète de notre réponse montrera
par ailleurs à M. Bronner que la remise en question de la thèse
officielle est loin de se résumer à des questions scientifiques, le
doute étant légitime du moment qu’il y a un conflit entre des faits et
l’explication qui en est donnée.
Ces expériences sont-elles selon vous assez sérieuses et concrètes ?
Cordialement