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Commentaire de louphi

sur À propos du mariage homosexuel


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louphi 29 avril 2013 23:37

Dwaabala

« La société rencontre LE PROBLÈME DES ENFANTS, paraît-il suffisamment fréquent, qui se retrouvent éduqués par des couples homosexuels, du fait qu’on a pu virer sa cuti. Il faut que ces enfants puissent bénéficier d’UN CADRE FAMILIAL non discriminatoire… »

Le couple homosexuel n’absorbe nullement le critère discriminatoire qui est à la base de cet argument. Un couple homme-homme, ou femme-femme, ne peut engendrer une famille ni en être le symbole.  C’est la nature qui a instauré cette discrimination de manière insurmontable. La société n’y est pour rien. En outre, éduquer les enfants ne signifie pas obligatoirement se déclarer famille maritale. Par exemple les célibataires élèvent bien des enfants sans se déclarer famille maritale. Par exemple encore, des institutions publiques dédiées à l’enfance élèvent bien des enfants sans pour autant se déclarer famille maritale.

« La société veut reconnaître et marquer LA PUISSANCE DE L’AMOUR  : ce serait de l’homophobie rampante que de pas accorder indépendamment de leurs sexes, mais SUIVANT  ‘’LEUR GENRE’’, le droit de se marier à ceux qui s’aiment. »

Dans ce cas, pourquoi se limiter à l’amour homo qui peut même se révéler moins puissant que l’amour Père-Fille, Mère-Fils, Grand-père et Petite-fille, Grand-Mère et Petit-fils, Homme-animal, Homme-Plante, etc. L’absurdité de cette conception crève l’entendement. L’amour a beau être puissant, il est incapable d’ignorer ou d’effacer le genre. La nature en a ainsi décidé.

Quant à l’accusation d’« homophobie » rampante ou non, cette accusation est un bouclier derrière lequel la « nouvelle science », l’homosexualité politique, tente de dissimuler son vrai visage, celui d’un monstre génitophobe, sociétophobe, qui entend bâillonner la société pour la dévorer tranquillement.

« Enfin, the last but not the least, LE PRINCIPE D’ÉGALITÉ entre les citoyen(ne)s, implique que Maurice a autant le droit que Paulette de se marier avec Albert. »

L’égalité « de droit », l’égalité par décret, entre Maurice, Paulette et Albert ne pourra pas amener Maurice et Albert à engendrer un enfant s’ils se marient, tandis que Maurice et Paulette, ou Albert et Paulette, le pourront. L’égalité « de droit », par décret administratif, ne pourra jamais combler cette inégalité, cette discrimination de fait, naturelle. Il y a des réalités qui transcendent la société et contre lesquelles la société ne peut rien sans risquer de s’anéantir. Par exemple, la société ne peut pas ne pas promouvoir l’hétérosexualité au risque de compromettre sa propre existence en tant que société.

Remarquer que tous les arguments avancés pour défendre le « mariage homo » se fondent sur le droit qui est une notion subjective car dépendant d’un rapport de force entre des groupes d’individus. C’est donc dire la fâcheuse tendance autotaritariste de ce mouvement qui prétend être démocratique et républicain. L’homosexualité politique, c’est de l’escobarderie politique. 

« … la tâche d’une société qui n’est pas atteinte de consomption est d’éduquer ses membres, y compris à la pratique familiale. »

Cette conclusion est tout à fait celle qui s’impose au terme du débat sur l’homosexualité. La société qui n’est pas atteinte de consomption, de dégénérescence, doit, par l’éducation, combattre la diffusion de la pratique de l’homosexualité, négation de la société, pour la réduire à sa plus simple expression, à son état inoffensif, faute de pouvoir complètement l’éradiquer.



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