Les politiques n’ont pas de projet sur l’organisation de l’État, ils ont des ordres et un cadre qu’ils doivent respecter sous peine de sanctions. Leur désir fervent et dogmatique au sujet de l’Europe, de l’Euro et de leur couplage atlantiste les enferment dans une camisole, mais ils n’osent le dire franchement, car ils perdraient leur légitimités.
L’Europe ne permet pas a l’État de choisir ses politiques, car ils ont donnés leur souveraineté a d’autres qu’eux même, ils se contentent de gesticuler sur des sujets de peu d’importance pour tenter de justifier leur utilité et leurs privilèges, et craignent que leur veulerie ne leur coute plus que leur privilèges. La trahison peut être mal vécue, une fois qu’elle est patente.
Tout ce qui peut être fait pour améliorer les choses, et les changer, passe par la fin du dogme libéral, la reprise en main de notre souveraineté économique, politique et sociale, et donc par la sortie de l’Euro et de l’Europe. Cette camisole européenne est en train de nous détruire, et c’est cet état qui la laisse faire.
Le temps des arrangements entre amis est fini, il faut expulser le lobbyisme et l’affairisme de la politique pour lui redonner une intégrité. Les cabinets qui imposent les lignes d’actions, les petits châteaux que se sont construits certains, les intérêts particuliers, les condamnés toute catégories confondu, tout ce qui gangrène cette ripoublique doit être changé en même temps que notre reprise de pouvoir sur notre pays et nos vies.
Soit nous enchainons nos enfants et leurs enfants par lâcheté, soit nous reprenons ce que nos anciens avait gagnés et qui as fait de nous un symbole d’espoir pour les autres peuples. Et n’écoutez pas les oiseaux de mauvais augures qui ne craignent que la perte de leurs avantages et ne pensent jamais a tous. La privatisation est le vol du peuple, c’est l’accaparement particulier du bien de tous.
Un article qui fait s’interroger, merci !