Comment pourrait-on nier leur responsabilité dans ce naufrage ?
Une fois la démocratie (r)établie, pourquoi ne pas s’inspirer de l’ostracisme athénien ?...Solution pacifique.
Ensuite, réduire les difficultés telles qu’énoncées dans cet article -comme certains « épais » à qui je m’abstiendrai de répondre- à une somme de « cas particuliers » qui seraient inaptes au métier, c’est évidemment nier la faillite d’un système dont le mépris qu’il porte aux « profs » le dispute aux mensonges distillés aux « élèves » concernant leur avenir.
Sauf exceptions nécessaires, car il y aura toujours besoin d’une élite formée dans les
meilleurs écoles publiques ou privées pour mener le troupeau.
(Parenthèse : il est vrai, cependant, que certains dans ce métier s’accordent et s’accorderont toujours très bien avec toutes les réformes possibles et imaginables. Certains bahuts sont désormais, d’ailleurs, bien plus proches de la boîte du tertiaire façon « caméra café » que du lieu d’instruction. Un « lieu de vie », on dit maintenant...)
Or donc, reprenons. Le discours de ces coprolithes présents sur ce fil est, ma foi, identique à celui de ceux qui, dans la sphère politico-médiatique, considèrent (mais avec compassion toutefois...) que les désespérés qui s’immolent devant les agences pôle emploi sont de « simples » déséquilibrés ...incapables de surmonter leur échec personnel.
De fait, on se garde bien de dire qu’en l’état actuel des choses et selon un scénario tendanciel, les 3/4 des 6 millions de chômeurs français ne retrouveront, sans doute, jamais de travail...
J’en terminerai là.