Merci pour ton billet d’humeur parfaitement exprimé.
L’amalgame est toujours nauséabond, mais le fond du sujet a ses vérités.
Le droit à la retraite est un terme infamant, il devrait être remplacé par le devoir des actifs envers leurs aînés.
D’ailleurs, (et au même titre ), nos aînés ont un devoir envers les générations futures (en principe), avec la transmission d’équilibres et de préceptes durables :
Quelle injustice !
La jeunesse manipulée par les gourous qui passent à l’antenne pour dire : Prenez exemple sur vos pères qui se sont battus pour vous...
Quel cynisme.
Bien-sur c’est vrai aussi...
Mais le bilan est là : (il suffit d’allumer la téloche pour observer la débilité des messages, à la foi info dénouée de sens et intox sans contradicteur).
Le chaos écologique (déforestations...), économique (surendettement / prédateurs financiers), pédagogique (nullité des mises en perspectives et des confrontations d’idées anéanties ou censurées si non conformistes), façonne notre monde de
shadocks...
Andy Verol, je te félicite donc, pour ton billet d’humeur, qui est certes injuste, mais explicite les responsables de ce chaos, sans les désigner : les politiciens cupides, élus par nos aînés.
Nos aînés ont profité du système (notamment après les 30 glorieuses)
Sans trop se préoccuper de demain.
Il n’y a pas eu de mea-culpa. (tout est bien ainsi ?)
Donc : « Après moi le déluge » est une règle induite égocentrique qui corrobore ce que tu disais : « un idéal : celui d’être en retraite. » et donc : « qu’il faut devenir vieux de bonne heure pour rester vieux longtemps. »
Je plussoie !