Bonjour l’enfoiré
Tu as bien raison d’écrire que l’étude du cerveau humain ( une des clés du XXIème siècle, c’est prévu ) ne se développe qu’en fonction des intérêts financiers.
Honnêtement, je crois même que l’Etat se fout des autistes puisqu’il s’agit de créatures qui ne rapportent pas. Tout au plus se donne t-il bonne conscience en reportant le problème sur des spécialistes. Des spécialistes qui s’entrechoquent car évidemment la solution, c’est chacun qui l’a et non les autres.
Or, il faut distinguer deux choses :
- les troubles du comportement qui empèchent un « enfant » ( c’était le sujet car l’article ne parle pas d’adultes ) de s’exprimer sur le monde qui l’entoure
- l’autisme, LE VRAI, qui résulte du manque ou de l’atrophie de la partie numéro 7 du cervelet qui est la faculté de globalisation.
La France, cette partie de la France qui sait toujours tout, est très en retard dans l’étude de ce problème et il n’existe aucune institution de dimension adaptée aux autistes, ce qui fait que les références sont fumeuses, les solutions variées, les confusions fréquentes et les diagnostics tout au plus à l’emporte-pièce.
Mais même le dire est de trop pour certains. Nous parents, nous avons besoin de certitudes. Il suffit qu’on nous dise que telle ou telle interprétation est la vraie vérité que nous plongeons dedans. C’est humain et s’appelle l’espoir..
N’en revient pas moins que le vrai problème des autistes, c’est demain. Que va-t’on faire d’eux, qui va s’occuper d’eux lorsque nous ne serons plus là ?
En Belgique, nous avons la réponse.
Une réponse partielle our un sur deux seulement, elle s’appelle le Village numéro un.
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