Commentaire de Nathael Dunevy
sur Vanité de l'écriture
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Au delà des galipettes, des pirouettes, les mots renferment, et rendent fermes, bien des mystères et des vérités.
Des vers hérités des grandes plumes, des vers venu de l’au-delà,
de la lune parfois, des vers acquis par de longues heures et nuits de travail,
de toute une vie, mais des vers à qui ?
A vous, à moi, à tous, car les mots, enfin les votre et les miens, tout du moins,
sont tous issus et tissés depuis le dictionnaire de l’humanité, car de toute évidence,
là semble être notre seul et vrai propos :
Penser les mots, pour panser les maux de l’humanité.
Derniers commentaires
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20/06 22:14 - Alinea
Y-a-t-il une explication à ces deux messagers, si tardifs, en ce soir morose et qui, oui, me (...)
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20/06 21:54 - Yohan
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20/06 21:47 - Alinea
Ah Victoria, quel plaisir, et sur un si vieil article ! Vous avez raison... j’ai toujours (...)
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20/06 19:29 - victoria
Si le lecteur a du plaisir à vous lire, c’est que votre écriture n’est pas si (...)
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11/05 02:42 - soi même
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09/05 21:26 - Alinea
Ah bon ! les donneurs de leçons, ceux qui s’adressent aux autres en disant « c’est (...)
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