1- La pulvérisation en un fin aérosol de la presque totalité du béton des planchers des 2 tours ;
Pas surprenant, les planchers ayant été coulé avec un béton fin comparé aux murs.
Et oui, il existe diverses qualités de béton, plus ou moins épais, plus ou moins denses, qui sont utilisés selon les besoins. Une pile de pont n’a pas besoin du même béton que la plancher d’un immeuble.
2- La présence importante de très fines poussières de fer, apparemment vaporisées par une puissante source d’énergie, capable d’amener instantanément et de manière homogène, des sections d’acier à la température de sublimation
Charabia sans sources amené ici pour introduire la thermite dont AUCUNE trace n’a jamais été trouvée. Même chose pour les cordeaux de détonation nécessaires pour une démolition contrôlée.
3- La projection d’éléments de structure pesant jusqu’à 20 tonnes sur plus de 200 mètres
Ejectés par la force d’impact des Boeing.
4- La présence de grandes quantités d’acier fondu dans les sous sols des WTC 1 et 2
Faux. De METAL fondu. Et non en grandes quantités comparables à des mares. Les Tours étaient recouvertes d’aluminium, un métal qui fond à 600°. Tout bon truther s’empresse de cacher et d’ignorer cela.
5- La disparition complète (fondue ou vaporisée ?) d’une presse de 50 tonnes située au sous-sol du complexe du WTC ;
Plus rien n’a subsisté de ce qui était présent dans les sous-sol. Quoi d’étonnant ?
6- Malgré un arrosage continu des débris pendant plusieurs jours d’affilée, de l’acier encore rouge est retiré des sous sols 6 semaines après les effondrements ;
Un incendie peut perdurer des heures, des jours ou plus encore tant que les éléments nécessaires à la combustion se trouvent sur place. A l’incendie des Tours, s’est aussi mêlé un incendie chimique, provoqué par les réactions des divers éléments.
8- La très faible hauteur de la pile des débris des WTC 1 et 2, qui auraient normalement occupé un volume bien plus grand
La pulvérisation d’une partie du béton l’explique en partie. Le fait qu’une Tour est avant tout composée de VIDE explique le reste, ainsi que les sous-sols complètement comblés par les débris et qui ne sont JAMAIS pris en comptes par les truthers.
9- L’absence quasi-totale dans les ruines des bâtiments 1 et 2 d’équipements de bureau [1] d’ordinateurs, restes humains etc. enfin, de tous corps massifs ou composés d’eau, alors que des milliers de documents en papier intactes recouvrent une grande superficie du site ;
Le papier se disperse facilement sous l’effet du vent ou du souffle d’une compression. Pas un objet plus lourd tel qu’un téléphone. Rien d’étonnant encore donc.
10- Certains véhicules situés à proximité des tours, non touchés par des débris, auraient mystérieusement pris feu de manière instantanée ;
Un véhicule exposé à un incendie a tendance à voir son réservoir exploser, vous savez. Et l’incendie se propage ensuite.
11- Plusieurs circuits électroniques sensibles, dédiés aux télécommunications entre autres, auraient apparemment été endommagés dans un périmètre de plusieurs dizaines de mètres de l’épicentre, trois mois auraient été nécessaires au rétablissement de ces services ;
Ah oui quand des réseaux sont détruits, faut remplacer tout le bouzin, oui. Et tester, réparer, changer les relais endommagés. Dix mille tonnes qui tombent sur un Iphone, ça fait pas du bien à l’appareil.
12- Présence, à l’effondrement des 2 tours, de colonnes nuageuses verticales, trahissant ici l’action de gaz chauds, tel ceux rencontrés dans les cheminées qui caractérisent la physionomie des déflagrations thermonucléaires.
Bon là on arrive au grand n’importe quoi. La fumée, cela monte tout droit, sauf si des vents soufflent et en décident autrement. On voit cela au dessus de toutes les cheminées. Ou de volcans aussi. Et que je sache, y’a pas de têtes thermonucléaires qui sautent tous les jours dans les poêles à bois de Mère Grand.
Et pis une charge nucléaire, ça fait un gros champignon. Pas une colonne droite.
13- Les étranges enregistrements sismiques du Earth Observatory de l’Université de Columbia, situé à une trentaine de km au nord du complexe WTC, démontrent distinctement la présence de deux importantes pointes, traduisant la libération rapide d’une grande quantité d’énergie, survenues peu après le début de chaque effondrement : 2.1 (à l’échelle Richter) pour la tour sud et 2.3 pour la tour nord
Les enregistrement montrent au contraire un événement unique, suivi par des vibrations secondaires, puis l’effondrement.
Impact de l’avion, tremblements, puis chute. Rien de mystérieux.