C’est Nabum
Crue de mots crus
sans moquerie, et j’y crois.
Serait-il cruche
de parler de la crue ainsi ?
Sans décrocher qui l’eut cru de mon « Si ».
Est-ce cruel, de croire que dollars n’est ami,
que de la cruauté,
cette crue ôtée du « T »
de Tamis ?
Pas d’étroit tamis, mais des
trois tamis.
Ce thé qui fait de nous les humains humanistes,
sans se taire des amis
non terrés,
aux mains unies
pour creuser,
d’un seul état uni,
contre tous les états unis.
Car humanisTe sans
le « T »,
humanise toujours au grand jour.
L’euro malheureux,
me rend mal en point,
alors d’honneur,
je vous prends le bras,
je leur tends ce draps, où je leurre tant
tous ces donneurs de leçons, de moralité.
Allons d’honneur, j’y mets un poing dressé,
Haut le doigt, on
le doit, d’honneur aussi,
et c’est tout, car de l’argent vient le manque d’eau,
et le trop plein
des pluies mal réparties.
« Trop de
leçons, et de morts alités. »
Et pour finir, redescendre cette crue,
elle semble contraignante
qu’elle ne fut,
pour Nabum mon
poto, un vers presque holorime,
presque parce la seule chose en trop est un « Rrrr »,
parce qu’on a
grand besoin d’air dans nos verres,
où l’eau rime à l’envers, allant vers un cours d’eau :
« Trop d’eau
dans ce propos ?
Trop tôt, eux les drapeaux collent aux poteaux ?
Trop d’ « O »
dansent, eux propres, au trot,
tôlent les draps. Poco
l’« hop auto ».