Vous démontrez par l’absurde cher Pilou Camomille : alors que vous chiez sur un FN dont l’analyse est infiniment plus lucide et réaliste (nonobstant les réserves que j’ai émis et qui ont tout à voir avec une dimension stratégique de communication politique afin de contrer l’influence délétère des médias et de l’idéologie dominantes sur l’opinion publique) que celle du FdG, vous prenez un soin infini à cajoler ce dernier !
« Si j’adhère aux avancées du Traité de Maastricht en matière de citoyenneté européenne, bien qu’elles soient insuffisantes à nos yeux, vous devez le savoir, c’est parce que le plus grand nombre d’entre nous y voient un pas vers ce qui compte, vers ce que nous voulons et portons sans nous cacher : la volonté de voir naître la nation européenne et, avec elle, le patriotisme nouveau qu’elle appelle (applaudissements sur les travées socialistes). » - Jean-Luc Mélenchon, intervention au Sénat lors du projet de loi constitutionnelle préalable à l’adoption du Traité de Maastricht, 9 Juin 1992.
« En tant qu’homme de gauche, je souhaiterais me tourner un instant vers certains de nos amis (l’orateur se tourne vers les travées communistes) pour leur faire entendre que Maastricht est un compromis de gauche (protestations sur les travées communistes, applaudissements sur les travées socialistes). » - Jean-Luc Mélenchon, intervention au Sénat lors du projet de loi constitutionnelle préalable à l’adoption du Traité de Maastricht, 9 Juin 1992.
Pendant que Jean-Marie Le Pen s’y opposait - et l’ensemble des dirigeants du Front national d’alors - avec non moins de vigueur et conviction !
« Sous le prétexte d’établir une monnaie européenne unique et une unité politique, on veut, sans le dire expressément au peuple, engager de façon irréversible un processus de mise en place d’une Europe fédérale sous l’autorité de la Commission bureaucratique de Bruxelles. (…) Il s’agit là d’une véritable conspiration contre les peuples et les nations d’Europe, et d’abord contre le peuple français et la France. Pour remettre celle-ci et son destin à des banquiers apatrides, on arrache à notre pays des pans entiers de souveraineté, et j’insiste - François Mitterrand l’a avoué lui-même - d’une manière irréversible. » - Jean-Marie Le Pen, discours au Palais-Royal, 1 Mai 1992.
« Réunis en ce haut-lieu sacré de la patrie, symbole de sa fondation, de son enracinement, et de sa pérennité, nous jurons de défendre les libertés des citoyens, nous jurons de défendre l’intégrité de notre territoire, nous jurons de défendre la souveraineté nationale de notre patrie, et d’exiger, pour ceux qui auront trahi, le jugement et le châtiment de leurs actes. » - Jean-Marie Le Pen, « serment de Reims », 6 Septembre 1992.
Tartuffe !!!
13/05 15:32 - citoyen
quand Goldman Sachs est le parti centriste, c’est facile d’être qualifié « (...)
13/05 15:23 - citoyen
Je vois que les bas du front ont oublié que grand papa Le Pen est un grand admirateur des (...)
13/05 14:01 - simir
@ schwetzer Il n’y a pas lieu d’additionner les anciens partisans de Besancenot et (...)
13/05 08:41 - ecolittoral
Pour babeuf. Le danger, c’est de croire qu’une bonne(?) dictature résoudrait le (...)
12/05 15:06 - CN46400
SVP comment faire pour être exonéré de TVA si on vote Mélenchon ?.......
12/05 14:47 - Anaxandre
Vous avez mille fois raison : dans notre « phobie », n’oublions pas l’infâme (...)
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