Ce qu’il faut noter c’est que durant toute la soirée d’hier les médias officiels se sont évertué à mettre en avant les « ultras » - comprendre l’extrême droite - comme les coupables de tous les actes de violence et de pillage qui se sont produits au Trocadéro et au-delà.
Vers 23h sur le site de Le Monde numérique, seuls les « ultras » sont mis en cause, avec comme preuve par l’image un petit diaporama de photographies très généralistes, telles de larges vues d’ensemble, qui ne montrent... rien ! Pas un mot, pas une allusion, concernant l’éventuelle responsabilité de « jeunes de banlieue », alors qu’en deux, trois clics je trouve une vidéo sur le site de l’AFP sur laquelle on voit clairement et distinctement que le type ethnique de ceux qui vont rapidement transformer le quartier en une zone de non-droit ont bien peu le type physique des militants néo-nazis traditionnels ! Le site a modifié son reportage depuis.
Mais passons sur les tentatives de manipulation de la presse gauchisante et immigrationniste à la solde des Rothschild, Bergé et autres représentants du « Métissage pour Tous (sauf pour nous) », et intéressons-nous aux faits.
Il y avait selon la presse environ 10 000 participants, dont une trentaine de supporters « ultras », pour 800 représentants des forces de l’ordre. Concernant les « casseurs », pas de chiffres précis, on en dénombre « quelques centaines » ici et « 400 à 500 » là... Le débat naissant sur le manque de prévoyance, d’organisation et de préparation de la préfecture de police et du ministère de l’intérieur ne m’intéresse pas ; ce que je note c’est la capacité de quelques centaines d’allogènes - en réalité peu ou pas organisés quoiqu’on nous dise - à littéralement saccager, piller et terroriser un à plusieurs quartiers parisiens dans une impunité et une liberté d’action quasi totales.
On va bien vite nous parlez d’enquêtes de police pour retrouver les « meneurs », grâce à une vidéo-surveillance liberticide qui se développe chaque jour davantage ; mais les caméras, même à haute définition iront-elles jusqu’à montrer clairement les vrais coupables : les immigrationnistes depuis 40 ans ?
Et j’appelle solennellement la République et les Pouvoirs Publics à former d’urgence quelques dizaines d’éducateurs pour aider nos banlieues, l’heure est grave !