Le 18ème, j’y suis né il y a 42 ans monsieur. Dans mon collège les enfants d’immigrés africains étaient ultra minoritaires et se mélangeaient donc sans aucun problème avec les natifs blancs. Ce n’est absolument plus le schéma que j’observe aujourd’hui : les rapports, les liens entre les jeunes se sont ethnicisés (la faute avant tout au nombre, et aussi à toute une propagande anti-assimilation de défense et d’affirmation des « origines » au détriment de l’assimilation).
Pour ce qui est du hooliganisme et de la violence en général dans le football, vous n’avez pas tort : il y aurait certainement de la violence même sans « les jeunes de cités ». Par contre permettez moi de voir dans les évènements d’hier un peu plus que du hooliganisme d’extrémistes : les zones à majorité allogènes sont une cocotte-minute explosive ; supprimez ou modifiez certaines soupapes de sécurité (trafics largement impunis, aides sociales, etc) et les villes brûleront immédiatement. Voilà ce qui est extrêmement préoccupant.
Et je vous rappelle que je n’oublie jamais de pointer les vrais responsables de cette situation catastrophique qui ne sont ni « blacks », ni « beurs »...