La politique de la serpillière mise en place par ‘’Moi Je’’ et
sa clique de fantoches, vient de démontrer son absurdité. Le préfet de Paris a
montré son incapacité par deux fois à gérer des manifestations. La première,
totalement pacifique, de familles outrées par cette loi sur le mariage pour
tous et gazée par les CRS. La deuxième, qui déjà par le passé avait déjà vu le
déferlement de violence par les hooligans du PSG et surtout par les casseurs
qui reniflent très bien les bons coups qu’ils vont asséner à la police. Mais
voilà, le ministre de l’intérieur n’a pas d’autorité, et le garde des sots qui
s’en attribue beaucoup trop, laissent les voyous libres de leurs mouvements, et
en totale impunité détruire les biens d’autrui. Un grand coup de torchon s’avère
né-cessaire à la tête de l’état qui de jour en jour montre qu’il a atteint son
niveau d’incompétence.
Dans ses Anti-mémoires, Malraux rapporte qu’en 1945, Albert
Camus écrivait à l’adresse du Gouvernement Provisoire de la République
Française, dans l’un de ses éditoriaux parus dans Combat "Donnez-nous un
chef dont nous ne puissions plus rire".
C’est toujours d’actualité 68 ans
plus tard... La situation n’ayant guère évoluée la France n’a ni chef, ni
Gouvernement, ne serait-ce que provisoire. D’ou la philosophie de l’échec…