Nul
ne peut être contre la mondialisation, qui n’est que la conséquence
d’un progrès que les hommes ne peuvent reprocher qu’à eux-mêmes.
Tout au plus chacun peut-il la vivre plus ou moins bien, selon ses
facultés d’adaptation à ce progrès irréversible, pour le meilleur
et pour le pire.
Des
frontières en voie de disparition du fait de moyens de transport et
de communication inventés par les hommes, ne laissent aucune
échapatoire à ceux qui voudraient ne profiter que des avantages qui
en découlent.
S’y
refuser équivaut à un combat d’arrière-garde sans issue, sauf à
admettre qu’une régulation démographique au niveau mondiale serait
de nature à créer des conditions plus favorables à la coexistence
de tous dans un univers désormais moins compartimenté.
Les
politiques économiques et sociales des États et notamment leurs
aspects écologiques, migratoires et de l’emploi ne peuvent avoir de
sens que si sont pris en compte les fondamentaux de la démographie
mondiale et les problèmes (dont la pauvreté et les atteintes à
l’environnement) qu’elle génère inexorablement.
Ne
pas en tenir compte ne peut que conduire à une aggravation de la
pauvreté, de la misère profonde et des inégalités de toutes
sortes, dans un monde de plus en plus riche.
Voir
à ce sujet : http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com