Alors reprenons la séquence telle que vue par philouie :
1- Le mensonge 1 serait (conditionnel) que je prétendrais
qu’il fallait être mystique pour parler anneaux ; vérification ici :
je demande (question) = aucune interprétation, mais pour philouie, une
question équivaut à une affirmation puisque sur la base d’une simple
interrogation, il en déduit que je mens. Mensonge : affirmation contraire à la vérité faite dans l’intention de tromper.
2- Le mensonge 2 serait que j’aurais dit qu’il avait dit
qu’il fallait être cycliste pour parler tour de France ; vérification ici :
je demande (question) = aucune interprétation, mais pour philouie, une question
équivaut à une affirmation puisque sur la base d’une simple interrogation, il
en déduit que je mens.
3- Le mensonge 3 serait que je l’accuserais de mentir pour
avoir tenu des propos qu’il n’a pas dits. Citation
de philouie
(---.---.---.60)
18 mai 19:51 : « vous, vous
avez prétendu que j’avais dit qu’il fallait être mystique pour parler des
anneaux borroméen ce qui est un mensonge. » Le « fameux »
mensonge 1 qui est en fait une question, mais pour philouie questionner = c’est prétendre.
Prétendre : Revendiquer, poursuivre quelque chose comme un dû, comme la rétribution nécessaire d’une certaine activité, position ou qualité.
Trois accusations de mensonges mensongères en raison du simple fait que
philouie, le juste, prenne les questions qu’on lui pose et auxquelles il ne
répond pas pour des affirmations. Accuser de mensonge son contradicteur sur la
base de ses propres mensonges, voilà ce qui s’appelle pervertir la
communication au sens littéral et étymologique du terme. Chapeau philouie, continuez,
vous faîtes d’énormes progrès.
Sinon, les « anneaux » on les « brise »
comment, parce que j’attends toujours ma confiture et il va bientôt être l’heure de déjeuner ???