Rebel,
cette citation de Racamier sur laquelle je n’ai rien dit dans l’article dit n’en était pas le sujet (*). Mais il est vrai que ça aurait pu constituer un angle d’attaque. Et par ailleurs, ce détail hors contexte m’avait échappé.
J’ajoute que mon intervention et mes échanges avec P. Vergnes étaient
relativement cordiaux, loin de ce qui fait aujourd’hui que je vous
connais mieux les uns et les autres et je me méfie de vos manipulations.
Si Racamier a dit ces mots - je demande à voir - alors j’affirme qu’il a commis une erreur.
En dépit de cette citation sous la forme donnée par P. Vergnes, et n’en déplaise à Racamier, je persiste et signe :
La déconfiture narcissique n’affecte
jamais les personnes honnêtes, par définition. De ce fait, il n’y a rien de commun entre la joie
légitime qu’on éprouve à démasquer un imposteur et le plaisir pervers de
blesser narcissiquement une personne respectable.
Enfin, si j’admets que l’on puisse éprouver du plaisir à démasquer un imposteur, nulle part je n’ai dit que votre déconfiture me réjouissait, et j’ai même précisé : un individu que l’on a blessé est un ennemis qu’on s’est fait, et de cela aucun honnête homme ne peut en éprouver du plaisir.
(*) Au sujet de l’article cité, on relira avec plaisir ce qu’en disait Volt le 17 décembre, 17:58 en réponse à easy à ce post d’easy qui interpellait Philippe Vergnes par ces mots, je cite easy :
’’Réalisez-vous que vous jouez les metteurs en scène ?
Que vous distribuez des rôles et des caractères à des personnages ?
Que vous créez des situations ?
Que vous les faites circuler et tout ça sur fond de coulisses, de masques et de décors changeants ? .’’
Peut-on mieux interpeller un manipulateur ? Lire aussi avec profit, la réponse de Volt.
easy, sagement ajoutait : ’’Pour éviter l’ Ouroboros, c’est simple « Tu m’es méchant, je me casse » Point’’
C’est, effectivement ce qu’il y a de mieux à faire dans ces cas. Sauf que laisser la place aux ’méchants’ sur un site citoyen, c’est une défaite.
Et l’Ouroboros est en train de s’installer en maître sous votre propre article que vous avez corrompu vous-même.
Je me casse. Repliez, cafardez, pérorez à votre aise, je m’en fiche désormais.