L’effet photo-électrique n’est pas découvert par Einstein.
Quant au laser, cela fait suite aux recherche sur la fluorescence et c’est justifié à priori par les bosons.
Or les bosons, ce ne sont que des genres de particules qui peuvent partager le même état, ce qui n’est jamais qu’une façon de retrouver les propriétés des ondes...
Einstein utilise le corpuscule Newtonien pour l’expliquer l’effet photo-électrique, c’est là qu’il innove. Il utilise à cette fin la constante de Planck.
Et c’est d’ailleurs ici qu’il y a un point très intéressant.
Comment un petit jeune qui n’a jamais rien publié a-t-il pu ainsi accéder à la revue « Annalen der Physik », qui était la revue de référence en physique d’Allemagne, si ce n’est en Europe, et qui recensait systématiquement les notes de toutes les académies des sciences en Europe ?
Qui était à la direction du comité de Lecture de cette revue ?
Max Planck.
Max Planck était de Munich (son père y était prof de droit)
Or Einstein a fait sa scolarité à Munich, car son père travaillait à l’entreprise de son oncle « Jakob Einstein & Cie », une entreprise spécialisée dans l’électricité, qui était connue pour avoir réalisée l’électrification de la fête de la bière.
Donc le plus probable, c’est que les familles Planck et Einstein se connaissaient à Munich, d’où les entrées dont a disposé Einstein dans la revue « Analen der Physik » dont le directeur de Publication était Max Plank et qu’Einstein fut en fait un instrument dans une sorte de concurrence nationaliste entre la physique française et Allemande.
Il est de toute façon illusoire de croire que le comité de lecture de la revue « Anallen der Physik », étant donnée la stature internationale de la revue, n’avait pas connaissance des divers notes transmises à l’académie des science en France (surtout celles de Poincaré), donc on peut affirmer sans crainte que Planck, le directeur du comité de lecture de cette revue, a largement joué son rôle dans cette histoire, au moins en n’exigeant aucune référence, ce qui est pour le moins étonnant pour un travail qui sort autant de l’ordinaire.