• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de ffi

sur Albert Einstein : du génie à l'imposteur


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

ffi ffi 27 mai 2013 02:49

Personnellement, je n’ai pas envie de poser au départ une axiomatique sur la nature des choses.
 
Cela dit, si vous demandez de le faire, je vous dirais ceci :


L’espace est plein, mais discontinu, formé par la juxtaposition de tous les corps.
Un corps est une portion individualisée de l’espace, entouré d’une frontière, d’une certaine étendue dans l’espace, qui se maintient pendant un certain temps (durée de vie)
Les corps peuvent échanger entre eux, au travers de leur frontière.
Il ne peut y avoir qu’un seul corps en un lieu en même temps.

Il y a deux grands types de corps :
- les corps inertiels, qui sont caractérisés par une propriété d’inertie.
- les corps non-inertiels, qui sont caractérisés par l’absence de propriété d’inertie.

Par commodité, en me référent à l’étymologie latine d’inertie, je désignerais la non-inertie par le terme de sollertie (inertia = maladresse en latin, sollertia = adresse), de même j’utiliserais l’adjectif sollertiel en place de l’adjectif non-inertiel (inertis = maladroit en latin, sollertis = adroit).

Ce qui est appelé « vide » est un corps sollertiel, mais il n’est pas pour autant vide, car il possède des propriétés (de polarisation, de permittivité,...etc).

Tant les corps inertiels que les corps sollertiels sont luminifères, car ils partagent les propriétés qui en font des supports à l’onde lumineuse : j’entends définir l’éther strictement comme le support à l’onde lumineuse, et l’éther concerne donc les propriétés afférentes à ce sujet.
 
Je ne désigne donc pas le « vide » comme étant l’éther lui-même, mais le fait qu’il ne soit pas vide implique de lui trouver un autre nom plus adéquat.
 
Pour choisir ce nom, je peux me référer à l’étymologie de « sollertie », puisque c’est la caractéristique propre au « vide » : sollertis est composé de sollus « tout » et de ars, artis (art) [NB : la sollertie, c’est ce qui est « tout en art »]. Sollus lui-même dérive d’une racine indo-européenne *solwos qui a donné divers dérivés tels salvus « sain », solidus « solide », solus/sollus « seul, tout » en latin, ou encore ὅλος (holos) « entier » en grec.
 
Pour changer un peu je vais utiliser la racine grecque apparentée à sollus, puis la composer avec le verbe ἵστημι, hístêmi, qui signifie « demeurer, fixer, se placer, se tenir debout,...etc), ce qui donne donc l’holostème : ce qui demeure entier, ce tout qui qui se tient debout.
 
Je choisis donc de désigner ce qui est actuellement désigné par »vide" comme l’holostème.
L’holostème est un corps non simplement connexe doué des propriétés de sollertie, de permittivité électrique, de perméabilité magnétique, et qui transporte donc la lumière.
 
2° L’inertie des corps se mesure toujours par rapport à l’holostème.

3° Le réel existe, par définition donc ne préexiste pas. Ce qui préexiste au réel est anté-réel.
 
4° Les lois de la dialectique sont un manichéisme. En ce sens, elles ne permettent pas d’expliquer la pluralité et la variété qui sont manifestes. Elle ne peuvent servir de base à une philosophie qui soit scientifique, tout au plus à une idéologie manichéenne.
 
5° La vitesse du signal (et autres variations) dépendent des conditions de polarisation locales de l’holostème.
 
Note : cette réflexion est en développement et non définitivement arrêtée.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès