La réalité du « crime » est quasiment insignifiante : un seul (!) compte à l’étranger non déclaré aux services fiscaux, difficile de faire plus bénin, qui, de plus, aurait été alimenté à la hauteur, presque dérisoire en pareil cas (seulement, prétendument, 600 000 euros, cela semble assez loufoque pour ce type de chirurgien).
Sans surprise pour moi est la réaction haineuse du quidam, le membre du grand troupeau, qui n’admet plus que quiconque puisse s’abstraire de SA morale : une morale laïque après la mort de Dieu, une hyper-morale de compensation, saturée d’interprétations chrétiennes (faible = bon).
Le problème de la « démocratie » est qu’elle repose sur des valeurs fausses (= mortifères pour la structure sociale) et que ses propres « élites » sont obligées de recourir constamment à ces pitreries sinistres de « droits égaux ». Ces gens-là se réclament à tout instant du « peuple » et prétendent même tirer leur légitimité de ce peuple.
C’est en cela qu’une telle « élite » est méprisable (et qu’elle aboutit à des farces type Cahuzac). La nécessité absolue d’une morale à 2 vitesses n’est pas en cause. Elle s’est vérifié au cours de toute l’histoire des communautés humaines : les dirigeants et la masse ne peuvent avoir la même morale.
Autrement dit, ce ne sont pas les actes d’un Cahuzac (totalement insignifiants au regard de ce qu’ont fait tous les dirigeants, au cours de toutes les époques normales), qui sont inquiétants et répugnants (pour un esprit aiguisé), c’est, au contraire, l’extraordinaire hypersensibilité de la masse, du troupeau quant au moindre coup de canif porté à son évangile de l’égalité.
Ce triomphe accompli de la morale du troupeau équivaut à une dissolution (par déstructuration) de l’édifice social. Quand une valeur aussi contraire à la Vie que l’égalité est intériorisée dans le cerveau de la masse (dans toutes ses composantes (entre races, sexes, individus, âges de la vie...), et s’impose comme le Bien exclusif (LES valeurs), la conséquence nécessaire est ce qui se passe actuellement (fin de la nation, de la famille, de l’éducation, du travail, etc...).
Toutes les évolutions incompréhensibles à certains (= le monde-fou ou écoeurant) en termes d’efficience et de pérennité de la structure sociale (métissage, féminisation forcés, enfant-roi, assistanat, xénophilie, homophilie, pédophilophobie,etc..) peuvent s’expliquer selon ce canevas.
Le contrôle juif total, politique et médiatique, la fantastique propagande étatique (paradoxale en apparence puisqu’attachée à la perte de l’Etat), l’édifice européen et la « contrainte » mondialiste , tout cela ne sont que des couches supplémentaires.
Elles n’ont pu prospérer (être imposées) que grâce à une destruction déjà accomplie dans le cerveau des masses (valeurs morbides d’égalité sui generis)