Bonjour,
Effectivement je pense que nous auront du mal a trouver un terrain d’entente, car nous ne voyons pas le monde de la même façon... un seul et même monde, mais avec 2 filtres différents...
je vais juste reprendre certains points qui méritent des éclaircissement :
"est-ce que ces grands-parents, soeur, frère etc. qui
sont obligés d’élever pour x raisons un enfant, prétendent en être les
parents ? Ils sont bien nommés « tuteur » ou « tutrice » depuis
toujours !«
Oui ils sont nommé ainsi car leur »parents« au premier degré ne sont plus là pour tenir leur rôle. Dans le cadre d’une adoption d’un enfant qui n’est pas de la famille on va bien les nommer »parents« et non »tuteurs« ce sera donc pareil pour les enfants de couples homosexuels.
»Vous évoquez l’époque des enfants confiés aux nourrices dans votre dernier commentaire. Quel était le but ? L’allaitement !« Non pas uniquement, dans les familles aisées notamment on confiait les bébés aux nourrices, puis des »bonnes« ou »perceptrices« etc. selon les termes et rôles exactes qui s’occupent réellement des enfants. Les parents se contentant de la partie »officielle« sans véritablement élever leur enfants... J’ai un exemple en tête »la couleur des sentiments" ou les bonnes s’occupent des enfants parfois jusqu’à leur départ de la maison... les parents étant souvent trop occupés à faire autre chose.
«
Les enfants d’homosexuels » comme
vous le dites, ce sont EN EFFET les mêmes que les enfants
d’hétérosexuels, c’est une évidence puisque les enfants se font tous de
la même façon. Une situation qui ne nécessite nul encadrement. " Pas tout a fait, vous oubliez la PMA, les bébés éprouvettes etc. qui ne sont pas fabriqués par un rapport sexuel entre homme et femme mais par contre à partir d’un gamète femelle et d’un gamète mâle.
« Les enfants d’un couple homosexuel »,
c’est de la novlangue puisque deux personnes de même sexe, ne peuvent
faire un bébé. Ces enfants là ont un tuteur une tutrice mais n’ont pas
de parents sauf si l’un des deux adultes en est le père ou la mère. Et
dans ce cas, nous retombons alors dans la situation ci-dessus.« Je viens donc de vous montrer le contraire... la conclusion est donc l’inverse de la votre.
»Les situations à encadrer dont vous parlez, ce
sont celles où des gens se sont mis sciemment hors la loi en France,
sans considération pour l’enfant acheté à l’étranger. Mais celui-ci
n’est pas entré illégalement en France, il a a un passeport et une
nationalité, celle de son pays d’origine ! Ce que réclament les
délinquants, c’est de transformer le délit en situation légale, soit des
papiers français avec un livret de famille français. Sur ce point, la
circulaire de Mme Taubira ne fait pas force de loi et cette question n’a
pas été réglée par le mariage gay. Quant à ceux nés d’une PMA de
convenance à l’étranger, celle qui l’a porté étant française, la
filiation et la nationalité sont établies (hypocrisie du système qui
permet le remboursement sécu pour les pays frontaliers).«
Vous mélangez beaucoup de chose, d’une part vous accusez sciemment les parents d’enfants adopté de les avoir »acheté" ce qui est totalement faux dans l’immense majorité des cas ! Trop aimable de faire ce genre d’accusation ! Merci pour les adoptants et les enfants adoptés !
Pour la PMA elle est légale en france, je pense que vous voulez parler de la GPA ? Dans ce cas oui, elle est illégale en France et le sujet est tout autre que celui qui nous intéresse ici.