A BA
A propos du rejet, en France, du Traité constitutionnel européen :
« Selon un sondage Ipsos, le vote « non » était surtout tourné contre ce que les opposants voient comme la dégradation des conditions de vie actuelles (une des raisons invoquée par 52 % du « non ») et le trop grand libéralisme contenu dans ce projet de constitution (une des raisons pour 40 %). Il était également motivé par l’espoir d’un meilleur traité (une des raisons pour 39 %).
Le vote « oui » était ressenti comme un vote pour l’Europe. Les motifs étaient de construire une Europe capable de faire face à la Chine et aux États-Unis (une des raisons invoquée par 64 % du « oui »), et aussi pour la difficulté de gérer une Europe à 25 avec les traités actuels (une des raisons pour 44 %). Les votants du « oui » avaient aussi pour but d’empêcher un « non » qui risquerait de mettre un coup d’arrêt à la construction européenne (une des raisons pour 44 %) et d’affaiblir le poids de la France dans cette Europe (une des raisons pour 43 %).
Toutes tendances et votes confondus, exception faite de l’extrême droite, les Français expriment une opinion favorable à la poursuite de la construction européenne (72 %). »
(merci à Wikipédia)
Mais d’accord avec vous sur le profond déficit démocratique actuel de l’Union européenne.
Les élections de 2014 donneront la possibilité, pour la première fois, de nommer un président de la Commission issu du courant devenu majoritaire au Parlement européen.
C’est une innovation du traité de Lisbonne !