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Commentaire de louphi

sur L'escroquerie du mariage pour tous


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louphi 2 juin 2013 06:40

Mendosa 

« Avez-vous vu des homos manifester pour retirer leurs droits aux hétéros de se marier ? »

Dans la société, la notion de droit suppose le devoir, un rôle positif pour la société. Dans la société, un droit sans devoir est une escroquerie, un vol.

Les hétéros assurent l’œuvre naturelle essentielle de procréer et donc de régénérer la société humaine. Sans les hétéros, point de société humaine. Le devoir des hétéros est donc absolu et spécifique. Ce devoir absolu et spécifique crée un droit absolu et spécifique pour les hétéros vis-à-vis de la société. Ce droit se traduit par un devoir tout autant absolu et spécifique de la société envers les hétéros. Ce devoir absolu et spécifique est avant tout et par-dessus tout moral, éthique, le devoir de reconnaissance. La société exerce jusqu’ici ce devoir spécifique et absolu de reconnaissance vis-à-vis des hétéros par l’institution du mariage. Le mariage, dans ses diverses formes hétéros, est ainsi une institution méritoire inspirée par la nature.

Or, par libre choix de l’homosexualité, les homos, dans leur spécificité en tant qu’homos qui manifestent et revendiquent des droits, renoncent à l’œuvre naturelle d’engendrer et de pérenniser la société. Par ce renoncement volontaire, les manifestants homos s’extraient donc volontairement du processus de régénération de la société. Cette auto-marginalisation, caractère absolu et spécifique des manifestants homos, se traduit par l’absence de devoir, donc l’absence de droit, vis-à-vis de la société en tant qu’homos manifestant. Autrement dit, les manifestants homos par définition ne peuvent bénéficier d’aucun droit dans la société en tant qu’homos, encore moins bénéficier d’un droit tant soit peu moral.

En revendiquant le droit au mariage, pire en se le faisant octroyer, les homos s’accaparent d’une valeur éthique naturelle indue spécifique aux hétéros. Par cet accaparement immérité, le mariage désormais partagée entre les hétéros et les homos se déprécie gravement, perd de sa valeur morale institutionnelle. Les hétéros se retrouvent donc spoliés dans leur spécificité de dépositaires de la valeur éthique institutionnelle qui fonde la société. Le sens même du mariage se trouve ainsi dévoyé.

En revendiquant et en s’octroyant le mariage, qui plus est à égalité avec les hétéros, les homos contestent et retirent leurs droits aux hétéros de se marier au sens éthique naturel. L’intrusion de l’homosexualité, dans les institutions de la société, de quelque manière et à quelque degré que ce soit (PACS et autres associations homosexuelles) est un hold-up sociétal car l’homosexualité par définition est la négation irrémédiable de la société. La situation est comparable à celle d’un virus nocif qui viendrait réclamer son bon droit à loger dans un corps sain.

Il convient aussi de souligner que les homos, à travers leurs lobbys, forment une vaste entreprise de prédation des finances publiques. Par exemple, on sait que « L’Union Européenne est à l’origine du mariage pour tous », que « La Commission européenne, qui exerce le pouvoir exécutif, déclare vouloir faire disparaître toute discrimination à l’encontre des homosexuels … » et que « Pour résumer, en 2012 donc, au moins 1 155 000 euros ont été à minima versés par l’Union Européenne aux associations homosexuelles. ». (1)

Or, ces fonds très importants qui sont versés aux organisations homosexuelles pour une cause futile et contraire à la société, la propagation de l’homosexualité, sont prélevés sur les deniers publics dans un contexte de crise financière générale de plus en plus aiguë des Etats. Ces sommes importantes constituent autant de dotations en moins pour la cause familiale sincère. On comprend d’autant mieux l’escobarderie de l’homosexualité politique qui consiste à s’accaparer de la valeur éthique du mariage et de la parentalité. Sans s’accaparer de la valeur éthique du mariage et de la parentalité, leur piochage dans les fonds publics, donc dans les poches des contribuables, pour la promotion de l’homosexualité, ne saurait se justifier.

L’homosexualité politique, en tant que mouvement qui s’organise et réclame des droits à la société en se faisant financer abondamment sur les fonds publics, est un hold-up à la fois sociétal et financier.



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