Il est vrai que Vladimir Poutine ne cède rien au politiquement correct, ne se perd pas dans le dédale des accomodements pas raisonnables sans fins, il dicte une ligne de conduite et c’est à prendre ou à laisser...
En vertu de quoi, c’est un pays qui sait ou il va, ce qu’il veut, Ce qui n’est malheureusement plus le cas de la France, ballotée au gré de tous les vents, de toutes les influences, de toutes les alliances...et qui subit de plein fouet, non seulement une crise économique mais encore plus une grave crise morale..
Serions nous devenus arrogants en nous faisant juge d’un pays qui désire garder et protéger ses valeurs, ses traditions comme tant d’autres .(le deux poids deux mesures fonctionne toujours bien) un pays ou l’intégration et le respect des lois ne sont pas négociables...
Le 4 Février 2013, Vladimir Poutine, le président russe, s’est adressé à la Douma, (Parlement russe), et a prononcé un discours sur les tensions avec les minorités en Russie :
"En Russie, vivons Russes. Toute minorité, de n’importe où, si elle veut vivre en Russie, travailler et manger en Russie, doit parler le russe, et doit respecter les lois russes.
S’ils préfèrent la Charia, alors nous leur conseillons d’aller aux endroits où c’est la loi du pays. La Russie n’a pas besoin de minorités. Les minorités ont besoin de la Russie, et nous ne leur accorderons pas de privilèges spéciaux, ou n’essaierons de modifier nos lois pour répondre à leurs désirs, peu importe la force avec laquelle ils crient à la « discrimination »
On ferait mieux d’apprendre du suicide de l’Amérique, de l’Angleterre, de la Hollande et de la France, si nous voulons survivre en tant que nation. les coutumes et les traditions russes ne sont pas compatibles avec l’absence de culture ou les moyens primitifs de la plupart des minorités. Quand ce corps législatif honorable pense à la création de nouvelles lois, il faut avoir à l’esprit l’intérêt national, en gardant à l’esprit que les minorités ne sont pas les Russes.
Les hommes politiques à la Douma ont donné à Poutine une ovation debout pendant cinq minutes !