Vous allez un peu vite. Ce n’est pas du mépris, vous avez tord de le prendre comme de l’attaque personnelle, d’une je ne vous connais pas et deux je ne vous juge pas à l’aulne de l’histoire que vous conter.
Mais ce que j’essaye de mettre en évidence, c’est que cette histoire est le symptôme, la marque, d’une dérive totalitaire du système démocratique dans lequel le fonctionnaire est utilisé - par l’ordre totalitaire - en s’appuyant sur l’allégeance qui découle de la légitimité du pouvoir, pour obtenir de lui qu’il serve les intérêts de la caste dominante au détriment des libertés individuelles.
Ici les points que vous avez mis en évidence, c’est que vous obéissez aux ordres et que ces ordres ne sont pas par vous contestable : ils émanent de l’autorité légitime, autorité qui de plus vous nourri.
mais vous ne vous interrogez pas, ni sur la légitimité réelle de ces ordres que vous recevez- Le mandat du peuple est-il un mandat global pour décidez de tout et de rien sans concertation ? - ni sur la valeur morale de l’acte qu’on vous demande d’exécuter.
Il reste que l’autorité légitime sur les enfants mineurs reste celle de leur parent et non pas celle de l’état.
Il reste que si vous agissez en contradiction avec cette autorité légitime au prétexte de l’obéissance à l’autorité politique, vous devenez le complice de celui-ci. Et alors vous n’êtes ni éducateur, ni enseignant mais simple flic ou pire agent du stalag.