Norton, vous maniez déjà fort bien le langage usuel du politicard aveti et prêtez à ma plume des propos, des lieux communs, que je ne tiens pas et préférez éluder les propositions dérangeantes, semble t-il.
Du tous pourris, à la peur, passant par la faiblesse sont à la limite de l’insulte tant il semble vous insupporter que je ne puisse plus croire au modèle d’endoctrinement dans lequel vous semblez baigner et vouloir entraîner autrui.
Et alors que vous semblez aussi facilement critiquer celles et ceux qui attendent confortablement un messie, vous nous proposez allègrement le vôtre qui, sans conteste à vos yeux, est mille fois meilleurs que tous eux qui ont précédé, nous demandant une allégeance aveugle et reléguer aux calendes grecques le thème du type de gouvernance lorsqu’il s’agit bien là de l’urgence ???
N’est ce pas l’apanage du sot que de ne point vouloir tenir compte des expériences passées ? J’ai, contrairement à vous, de nombreuses années de militantisme derrière moi, suffisamment en tout cas pour faire une synthèse drastique de la duperie du système que je critique aujourd’hui.
Et summum, il fallait vraiment oser glisser le paragraphe concernant 1789 et 1940 dont vous apprendrez, si vous ouvrez les bons livres d’histoire, que les apprences sont souvent trompeuses et font toujours les mêmes victimes.
J’eûs aimé, avec vous, confronter rationnellement nos arguments respectifs, avec un certain recul et le partage de nos propres expériences sans tomber dans la diatribe pseudo philosophique ou la propagande mais vous ne semblez pas le bon interlocuteur pour ce genre de débat de fond, j’en suis désolé.
Ne me reste qu’à, bon joueur que je suis, vous souhaiter de trouver la « lumière » promise dans la voie que vous avez emprunté. Cordialement.