Je prétends seulement que cette querelle sur les soi-disant bourdes ne sont que des fariboles sans intérêt politique et qu’elle participe du mepris pour la soi-disant incompétence de SR. ce qui permet de refuser de discuter ses positions qui sont aussi celles de beaucoup d’électeurs participants ou non aux débats participatifs qu’elle a eu le mérite d’impulser.
Sa démarche et ses propositions bousculent les habitudes politiques technocratiques voire aristocratico-monarchiques largement discréditées comme le montre le résultat des élections en 2002 et même en 2005.
disqualifiées
Il est temps de sortir de ce cette disqualification inqualifiable et antidémocratique d’une candidate dont le courage politique et la fermeté des positions n’est plus à démontrer. Disqualification haineuse dont l’origine « macho-salique », quand ce n’est pas la simple jalousie, s’étale sans fard. Il est temps de s’intéresser à ses propositions dont nous disposons tous aujourd’hui et qui méritent toutes d’être discutées et évidemment chiffrées, mais seulement dans un deuxième temps : le budget n’est qu’un moyen et il faut d’abord se mettre d’accord sur la fins pour décider des moyens.
C’est démocratiquement élémentaire.